Lorsqu’elle a décidé de sauter le pas et d’acheter un chiot de sa race préférée, Sophie était persuadée de réaliser son rêve d’enfant et de prendre la meilleure décision pour elle aussi bien que pour le chien.
Malheureusement, cela n’était pas le cas.
Un « éleveur » peu scrupuleux
C’est via une annonce que Sophie repère le chiot de ses rêves. Il est adorable, encore petit et visiblement d’ores et déjà disponible. Elle décide alors de sauter le pas et se rend chez l’éleveur pour faire connaissance avec son futur chiot Husky.
Sur place, le coup de coeur est total. La jeune femme tombe sous le charme du petit chiot plein de vie, et décide de faire confiance à l’éleveur, sans se méfier un seul instant. Le jour-même, elle rentre chez elle avec le toutou, folle de joie d’agrandir sa famille.
La douche froide chez le vétérinaire
C’est seulement quelques jours plus tard, lors d’une visite de routine chez le vétérinaire, que Sophie découvre la vérité. En examinant le chiot, le vétérinaire réalise qu’il n’a en réalité qu’un mois, et donc qu’il n’était absolument pas prêt à quitter sa mère, ni à être adopté.
Une situation qui s’annonce difficile aussi bien pour le petit Husky qui va devoir grandir sans modèle, faire ses apprentissages seul, que pour son humaine qui réalise alors que le toutou aura besoin de soins très réguliers, d’une présence forte et de beaucoup de patience.
Heureusement, sa santé semble bonne d’après le vétérinaire qui donne tous les conseils à Sophie afin qu’elle puisse s’occuper de son chiot. Des visites régulières chez le vétérinaire sont d’ores et déjà prévues afin de suivre de près l’évolution de ce chien.
Attention : cette adoption doit rappeler que l’achat d’un chiot est un acte réfléchi qui nécessite de faire des vérifications minimales afin que tout se passe au mieux. Certains papiers sont obligatoires afin de s’assurer justement que tout est en ordre avant l’adoption, notamment l’âge du chiot. Aucun éleveur sérieux ne délivrera un chiot sans ces documents et autres formalités légales.
