Le vendredi 27 septembre 2024, la SNCF était de retour devant les tribunaux plus d’un an après sa condamnation suite à la mort du chat Neko en gare de Paris-Montparnasse.
À l’époque, la SNCF avait été condamnée à 1.000 euros d’amende par le tribunal de police pour ne pas avoir déployé les "moyens humains nécessaires pour récupérer le chat" .
« Peut-être que la SNCF aurait du faire davantage »
Neko, le chat est mort après s’être échappé de son sac de transport. L’animal s’était réfugié sous un train arrêté. Malgré les multiples demandes de ses propriétaires, la compagnie ferroviaire n’a pas souhaité retarder son train qui est parti en écrasant le félin.
Comme le révèle la radio France Bleu Gironde, la société ferroviaire vient d’être relaxée par la cour d’appel de Paris.
Un décision qui rejoint la demande de l’avocat général : « Peut-être que la SNCF aurait pu en faire davantage ce jour-là, au sens moral du terme, mais pas dans le cadre pénal. Il n’était pas possible de récupérer Neko, tranche le magistrat, et le départ du train n’emportait pas la mort de l’animal. Aucune faute n’a donc été commise, conclut-il, la relaxe s’impose », relatait France Inter.