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La médecine naturelle pour soigner son chien

La médecine naturelle pour soigner son chien

Par Victor Pradel Journaliste

mis à jour le

Pourquoi soigner son chien à l’aide des médecines douces ? Comme l’alimentation naturelle, toutes ces disciplines – homéopathie, aromathérapie, phytothérapie, élixirs floraux… – visent à préserver l’équilibre, la santé sur le long terme. L’acupuncteur de la médecine chinoise recherche les déséquilibres pour agir sur eux avant même qu’ils n’apparaissent. Prévenir plutôt que guérir. Sans être acupuncteur, c’est ce que fait spontanément le maître attentif d’un chien, récepteur ultra sensible capable de juger de son niveau de bien-être.

Ces approches naturelles nous renvoient sans cesse aux conditions de vie, aux petites modifications du quotidien qui peuvent perturber un chien. Elles nous parlent de nous, (le maître), de lui (le chien) et nous renvoie au « nous » qu’ils forment ensemble. Un des messages des médecines douces lorsqu’elles sont pratiquées avec empathie et rigueur, est de nous dire que le « maître » peut faire partie du problème qu’exprime un chien et que, chemin faisant, celui-ci peut en modifiant son comportement agir sur celui de son compagnon…

Ce potentiel de remise en cause n’est pas toujours confortable pour nous autres humains, mais il signifie aussi que nous pouvons faire quelque chose pour que la situation s’améliore. Rassurant !

Une médecine douce sans effets secondaires

Les médecines douces, en particulier l’usage des plantes, nous rappellent au passage que maître et chien sont des êtres vivants qui puisent leur force, leurs ressources dans la nature – le contact avec l’air pur, la terre, les arbres, la pluie. Contrarier ou négliger les besoins de notre nature nous affaiblit. Pratiquer ces médecines nous permet de rester connectés à l’essentiel, notre force de vie et celle de ceux que nous aimons.

Voici des conseils et des formulations pour utiliser ces savoirs sans risques – et tous leurs bénéfices – en auto-médication. Point besoin d’être malade pour ressentir le bien-être qu’elles procurent, par exemple à l’occasion d’une cure detox à la fin de l’hiver ou lors d’une séance d’ostéopathie.

Leur efficacité sans effets secondaires est bluffante : petits bobos (soin d’une blessure causée par un épillet coincé entre deux coussinets ou dans le conduit auditif, piqûre d’insecte…), effets secondaires d’un traitement allopathique – gare au foie ! – ou encore lutte anti-parasitaire avec la citronnelle et la lavande.

Avec les médecines douces, un humain attentif ne peut pas faire de mal sauf à sous-estimer ou mal diagnostiquer une affection plus grave. D’où l’intérêt de recourir, de temps à autre, à des professionnels de la santé animale, comme les vétérinaires, capables de soigner les cas plus complexes, y compris avec des traitements classiques.

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1 commentaire

  • Utilisateur anonyme
    Utilisateur anonyme
    Bonjour,
    J'ai suivi des formations en médecines douces pour l'animal et j'ai ouvert un centre de bien être qui propose des conseils.
    Je trouve votre article très intéressant et j'aimerai avoir l'autorisation de le mettre sur mon site. A qui dois je m’adresser pour obtenir cette autorisation ?
    Vous remerciant, par avance, pour votre réponse
    Cordialement
  • 1 commentaire sur 1

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