Une entrée fracassante. C’est ce que Volta a fait dans la vie de son humain qui a souhaité la présenter à ses collègues en pleine prise de parole de Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale.
Donnant l’impression de ne pas prêter attention aux propos de l’intervenant, Gabriel Attal avait alors été pointé du doigt.
Bienvenue Volta
C’est dans les colonnes du Parisien, ce 11 février, que le premier ministre a décidé de s’expliquer en indiquant que la photo était celle de sa petite chienne Volta : « Dans l’hémicycle, pendant la motion de censure, mes sœurs m’ont envoyé une photo de ma chienne dans le jardin. Spontanément, j’ai voulu partager ce moment avec les ministres à côté de moi ».
Celle qu’il voulait ne garder que pour lui a donc fait des débuts fracassants dans les médias. Tant et si bien que Gabriel Attal a décidé de faire les présentations officiellement via son compte Instagram : « Elle devait rester mon jardin secret… Une photo de mon écran de téléphone cette semaine en a décidé autrement. J’ai toujours été passionné par les animaux. Et je pense que la manière dont la société les considère dit beaucoup de qui nous sommes. Comme député, puis ministre, j’ai toujours eu à cœur de m’engager pour le bien-être animal. »
Quant au choix du nom pour le toutou, Gabriel Attal a décidé de suivre la règle de l’année du « V » pour les chiens de race : « Elle a une énergie débordante. Elle porte ainsi très bien son nom, Volta, en hommage à l’inventeur de la pile électrique. »