Lorsque Jenny a adopté Stetson, un adorable chiot de neuf semaines trouvé errant près d’un lycée, elle pensait offrir un foyer à un croisé Labrador. Inscrit comme tel sur les papiers du refuge, il ressemblait en tout point à un jeune Labrador. Mais au fil des mois, son apparence a commencé à semer le doute.
Vers trois mois et demi, ses oreilles ont commencé à se redresser et retomber de manière aléatoire, tandis que sa silhouette s’affinait au lieu de conserver l’aspect trapu caractéristique des Labradors. Intriguée par ces changements, Jenny a décidé de lever le mystère en faisant réaliser un test ADN à son compagnon à quatre pattes.
Une révélation inattendue, mais une adoption sans regret
Les résultats du test ont réservé une surprise de taille : Stetson n’avait en réalité aucune trace de Labrador dans son patrimoine génétique. Il était majoritairement composé de Berger allemand (58 %), avec une touche de Retriever (18 %) et même de Chow Chow (10 %). Plutôt que d’être déçue, Jenny a pris cette découverte avec philosophie : elle a immédiatement ajusté son éducation en lui offrant des cours d’obéissance et un entraînement adapté à son énergie débordante.
Partageant son histoire sur TikTok, Jenny a été submergée de réactions amusées et attendries, certains internautes commentant avec humour qu’elle avait en réalité adopté « un pur bon chien ». Mais au-delà de l’anecdote, cette adoption a pris une dimension encore plus symbolique pour elle et sa famille : leur précédent chien, un croisé Labrador du nom de Sandy, disparu quelques mois avant l’arrivée de Stetson, partageait exactement la même date d’anniversaire. Un signe qui leur a confirmé que, peu importe son ADN, Stetson était fait pour être à leurs côtés.