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jumping chien
© cerae_Fotolia

Mon chien se met au jumping

Par Éric Duchêne Rédacteur | Journaliste

mis à jour le

Le jumping est un sport canin, essentiellement composé d’obstacles, de sauts, de tunnels et d’un slalom. Le tracé des épreuves est laissé à l’imagination du juge, officiant lors des concours, qui s’appuie sur un règlement international.

À l’occasion d’un concours, l’équipe « maître-chien » doit mettre en évidence la qualité d’exécution des différents obstacles, la complicité qui règne entre le conducteur et son chien. La vitesse n’est pas la priorité dans le parcours, mais sa qualité d’exécution. À chronomètre égal, l’équipe qui aura réalisé le parcours avec le moins de fautes, (donc avec moins de pénalités) sera classée devant. Les pénalités sont les fautes et les refus que peut faire un chien sur le parcours, chacun étant pénalisé par 5 points.

Toute personne désirant pratiquer doit être titulaire d’une licence délivrée par la Société centrale canine via la Commission nationale d’éducation et agility.

Il existe 4 catégories de chiens selon leur taille et leur vélocité :
• Catégorie A pour les chiens de moins de 37 cm au garrot.
• Catégorie B pour les chiens de 37 cm et moins de 47 cm au garrot.
• Catégorie C pour les chiens de 47 cm et plus au garrot.
• Catégorie D pour les chiens molossoïdes, ou les chiens peu véloces comme les Dogue allemand, Léonberg, Rottweiler, etc.

En fonction de ces différentes catégories, le juge réglera la hauteur des sauts correspondant à la catégorie :
A : 35 cm
B et D : 45 cm
C : 60 cm

Il adaptera également la vitesse d’évolution pour chacune d’elles. Ex. : 2,20 mètres / seconde, en catégorie A pour une épreuve avec zone agility.

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