La mort d’un animal, une épreuve sous-estimée dans les entreprises
La mort d’un animal de compagnie est une épreuve pour un propriétaire. Une épreuve qui est souvent sous-estimée et loin d’être reconnue dans les entreprises. Entre moqueries et incompréhension, la mort d’un animal peut provoquer une vive douleur chez le propriétaire.
Une enquête Wamiz révèle que 88% des propriétaires considèrent que la perte d’un animal est aussi douloureuse que celle d’un proche.
Revenir au travail au lendemain du décès d’un animal de compagnie peut être très éprouvant.
Fin août 2021, une Britannique a d’ailleurs demandé deux semaines de congés payés pour tenter de faire le deuil de son Labrador.
Plus récemment, Alejandro Carlos Chacón, membre de la Chambre des représentants de Colombie a présenté un projet de loi qui permettrait aux salariés d’obtenir deux jours de congés payés en cas de décès d’un chien ou d’un chat.
« Accompagner à notre humble niveau tous nos collaborateurs »
Adrien Ducousset et Adrien Magdelaine, les fondateurs de Wamiz ont décidé d’accorder un jour de congé aux collaborateurs confrontés à la perte d’un animal.
« Chez Wamiz, plus d’un employé sur 2 est propriétaire d’un chien, d’un chat ou bien des deux ! (…) Nous vivons au quotidien le lien fort qui existe entre l’humain et l’animal (…) Il nous semble normal d’accompagner à notre humble niveau tous nos collaborateurs confrontés à cette épreuve » précise Adrien Ducousset, cofondateur.
Une « pause » qui permettra à l’employé concerné de débuter sa période de deuil.
* Enquête Wamiz réalisée auprès de 3846 propriétaires de chiens et/ou de chats sur l’ensemble du territoire français (du 14 au 21 septembre 2020).
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