Elle adopte un chien chez un éleveur : 48 heures plus tard, elle est obligée de prendre une terrible décision

L’adoption de Neo, un jeune chiot a tourné au cauchemar. Nunzia Citro, 33 ans, est toujours sous le choc après la mort de son animal de compagnie. 

Comme le révèle le site Sud Info, le petit Shih-poo a dû être euthanasié moins de 48 heures après son arrivée dans sa nouvelle famille. 

Un chiot livré sur un parking 

La jeune maîtresse de Neo qui vit dans la ville Ayrshire en Ecosse explique avoir déboursé 600 livres sterling (environ 690 euros) pour adopter son chien. 

À l’époque, elle prend contact avec un éleveur qui avait publié une annonce sur Internet. Alors qu’un rendez-vous est convenu, l’homme décide de changer les plans à la dernière minute et donne rendez-vous à Nunzia sur un parking d’un supermarché d’Edimbourg. 

« Le jeudi, il m’a dit qu’il sortait le soir à Livingston avec des amis et qu’il pouvait déposer le chiot, ce qui m’évitait de me déplacer », a expliqué l’Ecossaise.

Sur place, l’homme va alors donner le chiot âgé de 10 semaines à la jeune femme en lui indiquant qu’il ne vaccine pas ses animaux. Pour expliquer ce comportement, il indique que « les propriétaires avaient parfois des problèmes avec les différents vétérinaires qui faisaient les vaccins ». 

Un salon couvert de vomi 

Une explication bizarre mais qui n’éveille pas les soupçons de la pauvre Nunzia. Malheureusement, la santé de Neo va très vite se détériorer. Son comportement va inquiéter son humaine. Il est inactif et ne veut ni boire ni manger. 

Elle décide donc de consulter un vétérinaire qui tente de la rassurer en expliquant que son comportement peut-être lié au stress. 

Le lendemain, elle découvre son salon couvert de vomi et de diarrhée. Elle décide de l’emmener en urgence chez le vétérinaire. 

« Pendant que nous étions à la clinique, le chiot est allé aux toilettes et les selles étaient noires avec des vers dedans », a expliqué Nunzia.

Malheureusement, l’état de l’animal était désespéré et a obligé Nunzia à abréger ses souffrances. 

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