2e exemple : maintenant, "les ptits chats".
Ca pareil, c'est un vieux concept que j'ai essayé de codifier très très tôt.
Léon a beaucoup de mal à rester zen devant un chat. Cette situation commence d'ailleurs un peu à m’inquiéter, car autant Basile avant ne réagissait pas, autant depuis quelques temps il réagit lui aussi fortement (à force de voir Léon faire, c'était inévitable),et quand j'ai les 2 chiens en laisse et qu'ils déclenchent sur un chat, en se potentialisant l'un et l'autre, j'ai vraiment du mal à les retenir.
Donc déjà, devant un chat, j'aurais beau les avoir en laisse, leur dire de laisser, les body bloquer, j'ai beaucoup de mal à les canaliser.
Bref, quand il y a un chat, je n'existe plus, mes chiens se fichent absolument totalement de ce que je leur demande (de laisser), la seule chose qui leur importe c'est de savoir si je vais réussir à les retenir physiquement avec la laisse ou pas.
S'ils sentent que je suis bien stable, ils abandonnent vite, s'ils sentent qu'ils commencent à me déséquilibrer et qu'ils ne sont pas loin de me faire tomber, ils insistent, les petits cons.
Est ce que évoquer le concept de chat, à l'avance, et leur demander de laisser, à l'avance, donc avant qu'ils ne déclenchent et ne soient plus en mesure de m'entendre, peut aider ? De façon insignifiante à mon avis. Et concrètement, à l'époque où j'avais Léon seul, j'ai déjà essayé, sans franc succès.
Le fait est que cette fois l'émotion en jeu n'est pas la peur, pas quelque chose dont ils voudraient se débarrasser.
Ils veulent ressentir le plaisir de courser un chat, et sont prêts à s'asseoir sur mon avis sur la question, et même à m'envoyer à l'hopital parce que je me serais vautrée à cause d'eux.