Merci Lorna car je pense peut être m'être mal exprimée dans mon post de départ. Je parlait en effet de petit chien réduit à l'état d'objet qui n'ont d'autre activité dans la vie que d'être à bras et d'attendre que le maître ou la maîtresse rentre, sortent voir le bout du trottoir pour retourner dans le salon... Donc voilà je ne pense pas que le chien s'accomplisse mais il n'était pas question de bonheur ou malheur mais de respect de la nature canine qui me semble quand même etre chère au cœur de chacun ici peut être que je m'exprime mal donc voici ma question pourquoi tolérer qu'un petit shi tzu soit heureux en attendant juste ses maître et pas pour un chien plus gros ? Ou est la différence et ou se situe la limite ?
Je ne suis pas certain, mais je pense que toute race a besoin d'un environnement optimal pour devenir parfaitement équilibré.
L'environnement est ce qui permet aux capacités de se développer. Par exemple, au tout début, Fluffy le chien de nos voisins était curieux à l'égard de Sana. Comme ils ne sortaient jamais leur chien (et que j'avais du mal avec ça), et comme (tout comme moi) ils ne barraient pas leur porte, bien parfois je l'entre-ouvrais pour permettre aux 2 chiens de copiner. Ça allait bien. Plus maintenant. Fluffy est asocial, il est craintif, son développement social a été entravé par une sévère sous-exposition aux stimuli.
Sa vie est bcp plus ennuyeuse qu'elle le serait si il sortait régulièrement. Mais la question, pour en faire un cas de moralité (donc d'agir de façon juste ou injuste, mal ou bien): souffre-t-il? Ou va-t-il simplement devenir un chien ***, sous-exposé, qui développera des problèmes de démence plus tard, lesquels passeront sous les radars puisqu'il n'a jamais été foutu de s'asseoir sur demande, et que de toute manière, il a toujours eu peur de tout?
Je pense qu'il ne souffre pas. Il perdra simplement sa nature de chien. Un jour, aucun de ses instincts ne lui parleront. Ce sera une petite peluche vivante, dont le bonheur dépendra à 100% de la présence de ces humains.