Alors, technique toute simple: Forcer le chien à abandonner l'idée. Abandonne fido, et ensuite tu vas manger. Elle semble (d'après ce qu'on lit) avoir en plus exigé au chien délinquent de s'asseoir avant chaque repas (ce que je fais moi aussi en passant). Résultat: 2 chiens qui vivent en harmonie, facture de 120$ d'honoraire, pas pour avoir "amélioré" le problème, mais bien pour l'avoir résolu.
Très simple, absolument rien de plus efficace, pour bien faire comprendre à l'Australienne, qu'il est HORS-DE-QUESTION qu'elle décide de quoi que ce soit en matière de nourriture, encore moins décider de se battre ou de manquer de respect à l'autre. Tu peux saliver, chialer, tirer, te débattre. Tu ne vas manger que lorsque tu seras calme!
Est-ce recommandé, est-ce recommandable, vais-je me faire gronder encore une fois pour en parler. Mon ton sarcastique vient de l'espèce de nausée que j'ai de sentir que ça devient de plus en plus difficile, de penser différemment dans un monde un peu trop monochrome.
Mais comme je vous disais, et je le crois vraiment. Si vous faites débarquer un éducateur et son clicker, il devrait pouvoir y arriver (par conditionnement opérant, par R+).
La grosse différence entre ces 2 approches, c'est que les éducateurs vous demandront de gérer en attendant de régler le problème. Le processus prendra du temps probablement. Alors que cet intervenant (impliqué dans le récit du post précédent), pour lui, ça s'arrête maintenant, car c'est innacceptable. Et le chien, bien il le sent. C'est terminé, c'était hier, nous sommes aujourd'hui. Tu n'attaque plus pour de la nourriture, pas sous mon foyer. En laisse. Et bave un bon coup. Et dès que c'est entièrement résolu (2, 3 jours peut-être?). Là, le reste pour le reste de sa vie, c'est d'égal à égal. Plus de laisse (évidemment).