Publicité

Captures de la vidéo des chiens

Ces chiens sont détenus dans des conditions intolérables

© Au pré de mon Arche / Facebook

8 chiens retrouvés enfermés dans un logement insalubre : une association, au pied du mur, lance un appel désespéré

Par Anaïs Drux Autrice

Publié le

Suite à une enquête de gendarmerie, plusieurs chiens ont été découverts dans des conditions de vie intolérables.

Une situation de maltraitance animale terrible. Le lundi 16 juin 2025, une association située en Lozère (48), nommée "Au Pré de Mon Arche", a publié une courte séquence vidéo qui se suffit à elle-même.

Sur les images, plusieurs chiens qui vivent dans des conditions inacceptables et dont la détresse est évidente.

Transformez votre animal en œuvre d'Art !
J'essaye !

Il faut trouver comment les sortir de là

Dans cette vidéo, on découvre un intérieur jonché de détritus, souillé par les excréments, où survivent 8 chiens privés d’hygiène, de nourriture et d’espace depuis plusieurs mois. Les animaux, dont 7 croisés de type chien de chasse et un pinscher, âgés de 1 à 2 ans, vivaient reclus et à l'abri des regards dans ce logement insalubre, jusqu’à une intervention récente de la gendarmerie. 

L’enquête, toujours en cours, a permis de révéler l’ampleur de la négligence. Contactée en renfort, l’association s'est immédiatement mise à la recherche de familles d’accueil temporaires capables de les accueillir en urgence, dès le lendemain de l'intervention : « Nous ne rentrerons pas dans les détails... mais les images parlent d’elles-mêmes », a précisé l’équipe dans sa publication Facebook, préférant taire certaines scènes trop dures à montrer. 

Les chiens ne sont pas stérilisés, et bien qu’ils soient craintifs au premier abord, ils se montrent rapidement doux et affectueux une fois mis en confiance. L’association compte sur un élan de solidarité : toute proposition d’accueil, même temporaire, est précieuse pour retirer ces chiens de leur quotidien de souffrance. Le mercredi 18 juin, 4 chiens avaient pu trouver une issue de secours, mais 4 autres étaient encore condamnés à rester sur place, faute de solution.

Plus d’actualités sur...

Qu'avez-vous pensé de cette actualité ?

Merci pour votre retour !

Merci pour votre retour !

Laisser un commentaire
Connectez-vous pour commenter
Vous voulez partager cet article ?