Je ne dis pas que l'on vit dans un monde merveilleux, je ne dis pas non plus que les refuges trouvent du plaisir a euthanasier des chiens et des chats. Bien sûr que je n'ais pas le remède miracle.
Mais le message défaitiste, "de toute façon, ça empire et les gens ne comprennent rien à ce qu'on leur dit" est signe que l'on préfère baisser les bras.
Il faut continuer à se battre, comme je l'ais dis, le monde ne c'est pas fait en un jour.
Et plutôt que se dire, les refuges n'ont pas d'autres choix que d'euthanasier leurs animaux en trop et que les gens ne comprennent rien à ce qu'on leur dis, moi, je dis qu'il faut continuer à se battre et essayer de trouver de meilleures solutions.
On ne change pas les mentalités d'un claquement de doigt. Il faut continuer, et plus on sera nombreux à faire diffuser le message, plus on aura de chances d'avancer.
Déjà , si l'état prenait en charge ne serait-ce qu'une petite partie du financement de fonctionnement des refuges qui vivent exclusivement sur des dons, cela leur donnerait plus de moyens aussi bien pour avoir plus de place que pour faire des démarches auprès des gens pour leur expliquer.
Aussi, si l'on faisait entrer dans la législation, des peines assorties de stages dans des centres de soins pour animaux maltraités, dans des refuges et autres pour les auteurs d'abandons et de maltraitance. Comme cela commence à se faire pour des auteurs d'accidents de la route avec des stages obligatoires dans des centre de rééducation d'accidentés de la route.
Des interventions de professionnels animaliers ( vétérinaires, employés de refuges, animateurs animaliers et autres ) dans les écoles, collèges, lycées pour sensibiliser les jeunes.
Des solutions pour expliquer. Il faut se donner les moyens.
Mais c'est à nous tous de mettre des solutions comme celles-ci en avant et de les expliquer, de les proposer et de faire en sorte, avec le soutien d'associations et de fondations, de les présenter aux élus.
Si chacun d'entre-nous reste dans son coin en disant, de toute façon rien ne changera, alors oui, effectivement, rien ne changera.