Ohhh, chui tellement content. Merci Bobkat, d'avoir si bien interpréter mon propos.
Y a le fond de ma pensée entre amis comme ça, et ce que je recommanderais vraiment. Tout ça deviendra plus claire quand je proposerai mes propres entrées de blogue. Pas question de suggérer aux gens de faire de la "recherche" sur leur chien lol.
Mais pour l'exercice de longe, ça j'ai peu de doute car c'est (je crois enfin), testé depuis des années par André Escafe (dsl si je malmène son nom), et sa méthode chien-libre. Enfin j'ose croire, que puisqu'une bonne partie du travail se fait en longe, il a songé à ça.
C'est un message. Et si il suffisait de faire "comprendre" ou "sentir" cette notion de "bien non ma chère, on peut pas choisir de revenir ou pas"?
Un proprio de Shiba comprend ça j'ose croire. Eux ils te regardent d'un air très sérieux, en se disant "non mais croit-il vraiment me convaincre de faire l'opposé de ce que j'ai envie de faire?"
Revenir même quand on en a pas envie. En soit c'est un concept, bien défini (donc peu questionnable). Comment on enseigne à un chien à revenir quand il en a pas envie.
On s'entend. Il se dit (la majorité du temps j'ose croire), oui oui plus tard. Je t'aime, je vais revenir, mais plus tard. Et là malheureusement il peut se rendre au bout du sentier et tomber en bas de la falaise, ou se rendre à la rue, ou entrer en contact avec la moufette, etc.
Ça là. Ça, ce concept là. On peut le palper. Comment on enseigne ça à un Husky? Ma pote en éthologie, est très loin d'avoir la réponse apparemment.
Longe de 20m. Viens! C'Est pas punitif ça. C'est pas l'éducation la plus cool, mais on enseigne bel et bien un concept important, duquel on devrait pas avoir honte.
Matière à débat bien sur. N'héstitez pas.