Ceci étant dit... J'ai exposé le côté obscur du rappel. Il n'occupe pas toute la place, loin (très loin) de là.
Le rappel est comme un compte bancaire. Identique.
Quand revenir améliore la situation du chien, on vient de déposer au compte. On vient d'améliorer les chances qu'il revienne au prochain rappel.
Quand revenir déteriore la situation du chien, on vient de retirer du compte. On nuit alors à nos chances d'obtenir un beau rappel de bon gré.
On peut pas constamment retirer, et rappeler de force. Même si ma chienne est toujours en liberté, je garde ça en tête, et je tente de faire des dépots réguliers. Facile. Si je la vois errer sans but précis, et que j'ai une belle balle qui l'attend, ou un jouet à tugger, je la rappelle. En arrivant elle mord dans le jouet. Elle est toute contente. Avant ça, elle errait. Donc sa situation c'est améliorée, donc j'ai fait un dépôt.
Le rappel, c'est aussi une façon de vivre. On peut rappeler son chien à la maison, partout.
Assis / Reste. Niaise là, ronge ton frein. Quand tu rappelle sa situation s'améliore. Dépôt.
Mon message précédent, c'est que pour terminer le travail, j'ai ajouté la dimension punition. Et ça, c'est vraiment pas documenté (d'où le fait que j'en parle). Et je l'ai conditionné en plus. À la finale, sans le savoir, j'ai suivi les recommandations de Ian Dunbar (ce grand papa gâteau) ;) Mon marqueur est très doux, pas besoin de lever le ton. On peut voir tout ça ici:
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