Il se déclenche chez notre vétérinaire, quand quelqu'un entre à l'accueil aussi, il ne dit rien parfois, si la personne ressort pour revenir, il se déclenche sur elle cette fois alors qu'elle n'est pas entrée plus brusquement et les mains vides, rien qui peut expliquer son attitude, il n'était pas en train de s'assoupir, ce n'est pas très cohérent d'accepter ou tolérer une personne une fois puis ne plus l'accepter la fois d'après. Il fait pareil avec des gens en balade, qu'il voit pour la première fois, il se montre amical et, que ce soit deux jours après ou 15 jours ou 2 mois, il ne va plus les accepter, et leur aboyer dessus, au point de les faire fuir, ils ne demandent pas leur rester. Je peux vous dire que les gens sont sacrément surpris et nous aussi. Il s'est déjà jeté sur des enfants qui ne bougeaient pas une oreille, qui ne le regardaient pas, comme ça, d'un coup, heureusement il était tenu court, on ne s'y attendait pas. On l'a retenu, il s'est assis pour se rejeter sur eux de suite après. Il n'y avait pas de signe de tension juste avant, en tout cas pas plus qu'à son habitude. Chez le comportementaliste vétérinaire réputé, il s'est déclenché en arrivant, sur les vétérinaires, sur les gens de passage, chez celle qu'on est allée voir qui travaille avec beaucoup d'exercices, on y est restés une heure, notre chien a passé une heure a gesticuler dans tous les sens nerveusement, à hurler, stresser, aboyer à tue tête, il était pire que jamais, elle nous a dit de ne rien faire rien dire pour voir comment il était justement. On était dans un immense parc qui lui appartient mais avec de la vie autour, du mouvement, de quoi le voir à l'oeuvre. Elle aussi nous a dit qu'on n'aurait jamais un chien sur qui on pourrait compter. On ne l'avait jamais vu dans cet état aussi longtemps puisqu'on finit par agir directement ou indirectement au bout d'un moment, plus ou moins court selon les situations. On l' aussi laissé dans un centre canin deux jours, il a eu le même comportement qu'avec nous, même pire d'après ce qu'ils nous ont raconté, que ce soit au centre ou lors de la sortie qu'ils ont faite avec lui. On les avait d'abord rencontrés deux fois avant de le laisser, une heure à chaque fois, ça c'était bien passé. Voilà ce qu'il en est pour les professionnels qui l'ont vu. On aurait voulu aussi que le comportementaliste réputé se déplace mais il ne travaille pas comme ça. On l'a revu sur un mois trois ou quatre fois, pour le suivi et c'est à la fin qu'il nous a dit qu'il ne voyait pas ce qu'on pouvait faire à part la médication, ou l'euthanasie.
Par contre, on se demandait, aucune prise de sang n'a été faite, ils y ont tous pensé mais rien n'aurait pas les signes d'un trouble hormonal par exemple. Ca fait quand même partie des questions qu'on continue de se poser, mais sans savoir ce qu'on pourrait demander de mesurer si on voulait lui en faire faire une.