Certains avez mentionné la conscience des végétaux.
Ce qui m'impressionne le plus des grands penseurs du passé et du présent, les plus grands, c'est qu'ils ne se sont pas trompés. Ils ont su se tenir à l'écart des pièges, et faute de connaissances, ils ont su émettre des énonocés incomplets, sans pour autant être erronés. Les 2 meilleurs exemples sont Dawrin et Einstein. Plus le temps passe, plus on réalise que même les domaines où ces individus semblaient moins surs d'eux, ils ont contribué même si c'est de façon incomplète, ne serait-ce qu'en induisant pas l'humanité en erreur.
Descarte par exemple, s'est gouré. Il a couru le plus vite possible, inspirant une société à courir avec lui, tout droit dans un mur (L'erreur de Descartes). Ça, ça m'impressionne beaucoup moins.
Des grands penseurs restent timides quant à la notion de conscience végétale. Aristote leur en a consenti une. Lui vous voyez, ça en est un qui a joué un parcours dans fautes. Ça vit, ça pousse, ça souffre, ça meure, ça a probablement une conscience selon lui.
Ma position, toute simple, c'est que ce qui rend l'étude de la conscience des végétaux difficile, c'est qu'ils n'évoluent pas --selon moi-- dans le même espace temps.
De ce truc tout bête, vous savez la réaction de cette méduse au touché, je vais dégager une propriété IMPORTANTE de la conscience: L'instantanéité. La réponse est immédiate, toujours. Mais un arbre qui réagit immédiatement dans son espace temps, peut, dans le nôtre, sembler mettre 24h à réagir.
Mais il est difficile, très très difficile d'exclure les végétaux, puisque certains représentants ressemblent et réagissent comme des animaux. Je parle des fameuses plantes carnivores. Donc ce n'est pas simple. Dans leur cas, ce qui nous permet de faire une observation plus avisée, c'est qu'elles doivent vivre dans le même espace temps que leurs proies. Vous voyez le principe? Elles doivent réagir à cette mouche maintenant, pas demain. Le vieux chêne d'à côté lui, a tout son temps, son espace temps.