Martau j'ai jamais dis que c'était une preuve. J'ai dis "j'y crois dur comme fer" en citant cet exemple qui est pour moi, lié à la conscience de son état. Ca serait cool pour les discussions que tu reprennes pas sans cesse les propos des autres pour leur faire affirmer ce qu'ils n'ont jamais dit.
Je ne reprends pas. Je donne mon point de vue sur le sujet. Pourriez-vous envisager la possibilité de ne pas considérer comme une attaque personnelle un point de vue ne concordant pas totalement avec le vôtre ?
Oui je peux, dès lors que ton avis n'implique pas une déformation des mes propros. Tu commences ta phrase en disant "Pareil cas ne prouve rien"
Dès lors que j'ai dit que c'était ma croyance, il n'est pas utile de parler de preuve.
J'ai bien compris que tu ne cherchais forcément à mal. Mais ta façon de t'exprimer est très affirmative et très frontale. Elle n'amènne pas l'autre à engager un échange mais plutôt un débat réthorique. Une fois ou deux ça peut le faire, mais quand c'est systématique, c'est usant. Je ne réponds pas à tes propos les 3/4 du temps car tu as cette méncanique.
Donc stp tiens compte de ce que je viens de te dire.
" Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. "
Bonjour,
Mon opinion personnelle (je dit bien personnelle) concernant l’intelligence du chien c’est qu’aujourd’hui au vue de son mode de vie il est compliqué de réellement l’évaluer.
Pourquoi : La plupart des « experts » du comportement canin sont d’accord pour classer les degrés d’intelligences des chiens en fonction de la capacité d’acquisition/restitution d’un ordre et de la multiplicité d’ordres retenus par le chien. Soit une certaine forme de mécanisation comportementale. Du moins cela est vrai dans le cas du chien domestique.
Concernant les chiens feraux on constate des schémas comportementaux différents, acquis pas l’expérience ou innés (hérités des parents vivant déjà à l’état d’errance) qui sont très différents des chiens domestiques
Il y a aussi la variable humaine à prendre en compte qui impacte de façon parfois dramatique les comportements dû chien.
Les études (irm, scanner …) sont intéressantes d’un point de vue biologique mais je pense (je pense hein précision 😎) que la seule véritable façon de déterminer l’intelligence d’un chien (possibilité de trouver une solution à un problème, de répéter cette solution dans le temps si la problématique est de nouveaux rencontrées) se trouve dans l’observation et l’analyse des comportements canins a l’état « libre » si je puis dire sans que l’humain n’ai eu la possibilité d’induire par lui même un quelconque schéma.
Il serait je pense intéressant notamment d’étudier le Sloughis Marocain (encore très primtifs dans son comportement et pour la majorités vivant « libre ») plutôt que le Border Collie ou le Malinois (exemple commun cité en matière d’intelligence canine.
Leur capacité à établir une « stratégie » de chasse, pister une proie, s’adapter à un environnement hostile me semble révélateur des capacités cognitives de nos compagnons canins bien plus qu’un Border Collie au troupeau (même si cela reste remarquable à observer le schéma comportemental reste travaillé par l’homme depuis de nombreuses années)
Voilà ce n’est que ma position sur le sujet (ce que je crois, ce n’est ni une preuve, ni une quelconque volonté d’affirmer une vérité qui absolue. En revanche je serait ravie de débattre dans l’échange cordial)
Très belle journée à tous
" Le chien est un être doué d’émotion et capable d’une gamme d’expression riche et variée. Communiquer avec un chien c’est... "
Aiken-Ka,
Oui tu peux faire des comparatifs entre chiens de type domestiques, ferraux etc... et différents type de chiens.
Mais la domestication est le rapport à l'homme sont à l'origine même des changements comportementaux et même génétiques chez le chien. Si tu veux évaluer les chiens avec lesquels nous vivons pour essayer de comprendre ce qu'ils sont, il n'y a je trouve pas grand intérêt à aller voir des chiens ne vivant pas avec les humains (bien que les sloughis dépendent des humains et vivent plus ou moins avec eux).
L'evaluation doit se faire dans un contexte réel.
Après évaluer des comportements de chasse avec ccertains type de chiens est une autre approche et peut être tout à fait complémentaire. Mais le contexte dans lequel les chiens vivent est dans tous les cas un élément clé qui ne pourrait être exclu d'aucune étude.
" Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. "
Flip Cockwood,
Je parle ici bien de « mesurer » l’intelligence d’un chien et j’admet que la domestication a modifié de façon drastique tant l’intelligence (capacité à prendre des décisions, initiatives) que les comportements.
Ce que je regrette et le but de mon propos est de dire que l’homme a « rendu bête » dans le sens limité le développement cognitif du chien en sélectionnant des traits qui lui correspondait.
L’étude des « croisé » (Berger créole notamment) pourrait également apporter un plus à ce que nous savons déjà où croyons savoir, un contexte global non lié uniquement à nos chiens domestiques de races (donc études de grandes ampleurs si l’on veut recouper, quantifier, évaluer avec objectivité les véritables capacités canines)
Le problème que j’ai actuellement (il ne concerne que mon opinion et n’engage que moi) c’est justement qu’on se limite à des comportements de chiens domestiques.
Il faut garder en tête que l’immense majorité des chiens (même ferraux) vivent au contact de l’homme (plus ou moins rapproché) ce qui m’intéresse principalement c’est de 1 déterminer dans quelle mesure l’homme a « handicapé » le chien dans ses prises de décisions 2 comparer cela à dès chiens « libres , 3 observer les chiens domestiques dans des situations similaires vécues par les chiens ferraux afin de déterminer justement s’ils sont capables ou non de résoudre ce genre de problèmes par eux même ( je ne sais pas si je suis claire ???)
J’ai dans l’idée que ce types d’approche pourrait déjà éclairer notre lanterne sans être une réponse absolue et définitive.
On a déjà comparé la capacité de prise de décision loup/chien ce qui a démontré un fossé entre les deux espèces et déjà orienté les études suivantes. Élargir le panel pourrait peut être nous permettre de définir un peu plus précisément ce qu’il en est et de la former au mieux les professionnels du comportements canin.
Nous n’en savons pas encore assez à mon sens et énormément de raccourcis sont fait (approche beaucoup trop globale à mon sens)
Qu’en dis tu ?
" Le chien est un être doué d’émotion et capable d’une gamme d’expression riche et variée. Communiquer avec un chien c’est... "
Martau, je suis parfaitement d’accord.
Aujourd’hui je frappe personne 😝
" Le chien est un être doué d’émotion et capable d’une gamme d’expression riche et variée. Communiquer avec un chien c’est... "