Je ne vois toujours pas le rapport de la stérilisation avec le problème actuel qui a débuté le 4 juillet, quand j'ai pris mon chat alors qu'il n'aime pas ça.
Si mon chat était entier, le refus de rentrer à l'intérieur du logement aurait commencé déjà bien avant. Et puis imaginons qu'il soit entier et que de ce fait il refuse de rentrer, mais il reste en longueur de journée et toute la nuit sur sa terrasse, il ne s'en va pas. Un mâle entier ça vagabonde beaucoup, donc non c'est illogique dans son cas de chercher la cause côté hormones.
D'ailleurs il ne faut pas non plus chercher côté odeurs des autres chats ou nouveaux meubles, nouveaux voisins.. Car ici ça bouge beaucoup, je suis dans une zone de résidences secondaires. Quant aux odeurs, mon chat a l'habitude, on a plein de matous qui passent et qui rentrent même dans les niches rien que pour marquer, et mon chat dormait autant dans les niches sur la terrasse qu'à l'intérieur de chez lui. Les odeurs il a l'habitude. Les nouveaux meubles, des réaménagement il a l'habitude. S'il y a un nouveau truc il renifle et se couche dessus, il n'est pas compliqué.
Le fait qu'il se couche sur la niche au lieu de se coucher dans la niche, je ne vois toujours pas quel rapport s'il était entier ou s'il est castré.
Les problèmes neurologiques viennent avec l'âge surtout s'ils sont castrés, pourquoi ça vous étonne ? C'est comme nous, après une andropause ou ménopause, des problèmes de sénilité commencent. La détérioration du cerveau a rapport avec les hormones sexués, ou rapport avec le stress mais là c'est pas son cas.
Le problème c'est moi qui l'ai déclenché, ça a commencé le 4 juillet. Mais je pense que mon chat était déjà entrain de développer un problème neurologique. Je m'en suis douté quand il dormait avec la petite chatte qui est arrivée début juin alors qu'il pouvait pas la blairer auparavant. J'avais fait plusieurs tentatives pour la lui faire accepter et chaque fois il quittait son territoire. Mais ce début juin, tout s'est bien passé, ils dormaient ensemble donc oui je persiste à croire qu'il avait un problème de sénilité que je n'arrivais pas à détecter. Le 4 juillet, son comportement de ne plus vouloir rentrer m'a mis la puce à l'oreille