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Je soutiens généralement l'utilisation de vaccins non-infectieux [tués], car je pense qu'ils ont moins de probabilité de causer des dommages à long terme, mais le Dr Schultz présente un dossier solide pour l'utilisation de vaccins vivants modifiés (MLV), et que le rappel peut être nécessaire avec des vaccins non-infectieux. Avec les MLV, une dose peut avoir une grande efficacité. Cela s'applique principalement aux DC et CPV ; de même que l'anti-rabique non-infectieux [tués] et le FP sont aussi efficaces que les MLV.
Selon le Dr Schultz, une dose de vaccin à un âge donné immunisera avec succès 95% des animaux. Voir les suggestions suivantes :
La maladie de Carré (MLV) 10-12 semaines
Parvovirus canin (MLV) 12 à 14 semaines
Feline Panleukoenia (non-inf. [Tués] OK) 10-12 semaines
Pour finir, un commentaire sur la vaccinations et le choix.
Bien que le concept de "posséder" un animal est une notion avec laquelle je suis mal à l'aise, je reconnais que c'est ainsi que la relation homme-animal est considérée d'un point de vue juridique. Sinon, nous pourions certainement nous considérer comme les tuteurs de nos animaux de compagnie.
Dans ce cadre, le choix de la vaccination repose sur l'homme qui a accepté cette responsabilité de tutelle ; il ne repose pas sur le vétérinaire.
Une autre tendance de ces dernières années est la contrainte subie par les tuteurs à propos des procédures comme la vaccination. Cette contrainte peut être flagrante, comme le refus de fournir des services et même des soins d'urgence sauf si l'animal est à jour dans ses vaccins. Parfois, même les animaux gravement malades sont vaccinés lors de leur admission pour le traitement.
Des moyens plus subtils comprennent l'induction de la peur et/ou de la culpabilité en affirmant (comme une figure d'autorité) que les animaux de compagnie sont en danger s'ils ne sont pas vaccinés chaque année, et que de ne pas s'y conformer est la preuve d'un manque de soins.
Des tactiques comme celle-ci peuvent créer des sentiments de culpabilité chez les tuteurs, conduisant à une décision prise par peur et fondée sur le sentiment que vacciner un animal n'est pas à risque. C'est contraire à l'éthique, si ce n'est carrément une faute professionnelle, et le refus est une réponse acceptable.
Comme il a été indiqué ci-dessus, la vaccination contre la rage est une obligation légale sur un intervalle d'un à trois ans, de telle manière qu'un refus est un risque juridique. Cependant, lutter pour changer ces lois est approprié.
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