Non à l'abattage des animaux de boucherie sans étourdissement

Et encore d'accord avec dette phrase : "Le problème c'est qu'une partie de l'élite politique préfère fermer les yeux, mais le réveil sera brutal."

Et c'est pour cela, entre autres que je disais tout à l'heure que l'avenir me faisait peur.

Flèche, c'est en disant sans arrêt ce que l'on pense qu'un jour les choses bougeront.

Bon on va pas changer le monde en 2 heure non plus et non rien je préfere rien dire ...

mais comme quelqun la dit plus haut:quand on commence a donné son opignion sur se sujet on passe pour des raciste

Pas vraiment que raciste c'est plutôt pour des raciste , des antisémites et des xénophobes ...

On dit souvent qu'il y a un problème d'intégration en France, cependant et je parle en connaissance de cause, étant franco-libanaise, si on veut s'intégrer on peut s'intégrer. Un certains nombres de valeurs réunissent les français tels que la laïcité, la démocratie, la liberté et ces valeurs devraient être inviolables quelques soient les raisons évoquées. Si on ne se retrouve pas dans ces valeurs qui font la République Française, on peut très bien choisir de s'exiler dans un pays où nos idéaux sont partagés.

Flèche, personnellement j'en ai rien à foutre ce que l'on pense de moi, je pense et dit ce que je veux.

J'aime la France et ce qu'elle est devenue et risque de devenir me fait peur.

Et pour les esprits chagrins je précise que mon nom de famille n'est pas français.

Ganache, d'accord avec ta phrase : "si on veut s'intégrer on peut s'intégrer".

Mon père a fait parti des immigrés arrivés dans le milieu des années 50 et je peux t'assurer qu'il n'a pas fait chier les français.

Il a toujours travaillé, a payé ses impôts et ne m'a pas emmerdé en ce qui concerne la religion.

Ce que je constate donc c'est que les immigrés des premières générations étaient beaucoup plus tolérants que les suivants et plus tolérants même que les enfants qui, par leur naissance au sol ont la nationalité français mais n'ont rien à foutre de la France.

Mon père est arrivé en France en 1981, il avait 19 ans, ne parlait pas un mot de français et était sans le sou. A force de travail et de persévérance, mes parents ont une très bonne situation maintenant. Mais le plus important, c'est que mes parents nous ont toujours appris à aimer la France, à respecter ses valeurs. Sans renier ses origines, on doit aimer le pays où on est né, où on a grandi, qui nous permet d'aller à l'école, de faire des études, de vivre libre et en sécurité. Pour moi c'est un minimum.

Ca fait plaisir de te lire Ganache ;)