Bah pour moi c'est plus simple. La nuit, c'est fait pour dormir. On se lève pas. Donc en effet, si le toutou est à un endroit où on ne peut pratiquement pas l'entendre, ça devient plus facile de respecter ce principe. Sinon quoi, on se lève et on fait quoi?
La nuit, y a que l'extinction. Donc tant qu'à faire, autant bien le faire. C'est mon point. Pas le choix, seul et unique item au menu. Y a que ça.
Pour les refuges, je me demande justement si il y a pas un peu de ce dont je parle dans ma première réponse... Si qq1 revient avant que ces chiens se soient tus, alors que ce qu'ils désiraient c'était de l'attention, l'aboiement est alors renforcé par le retour de quelqu'un. Ça renforce donc ce dialogue avec soi-même.
Oui à toute intervention pouvant porter fruit, que ce soit subtil ou pas, tant que ça permet au dossier de progresser rapidement puisque la tension est élevée. Mais le point que j'ai tenté de faire dans ma première réponse je crois, c'est que si on s'imagine progresser en "revenant" alors que le chien est toujours en train d'aboyer, ça non j'y crois pas. Toute action qui implique qu'on revienne après que le chien se soit tu, ça j'y crois. Sauf la nuit. La nuit, on l'oublie, et on dort.
Je trouve ce raisonnement d'une logique imparable. Du coup, il faudrait faire comme certains musiciens, fabriquer un petit local insonorisé dans les appartements !