Il y a des chiens qui collent parfaitement avec votre "cahier des charges" ! Renseignez-vous sur les créoles !
Ce sont des chiens des Antilles qui sont placés en métropole pour échapper à un triste destin. Il y a plusieurs associations qui s'occupent de sauver ces chiens. Ils ont toujours des chiots car il y a énormément de chiens errants qui se reproduisent à tour de bras ! Ils ont aussi des juniors 8/9 mois (j'en ai adopté un !) et des chiens adultes. Vous pouvez voir des chiens à l'adoption avec ces associations (comme Les loulous de Gwada) dans plusieurs régions en consultant la fenêtre adoption en haut à gauche.
Je vous mets aussi un extrait d'une info que j'ai trouvé sur les créoles avant d'en adopter un.
LES ORIGINES DES CREOLES
Le chien créole vient de chiens de races différentes. Il a de tous temps vécu dans l'errance la plus totale et cela depuis des générations.
Les croisements entre ces différentes chiens errants sont multiples, il s'agit d'un mélange de races impressionnant qui au fur et à mesure des générations a trouvé des caractéristiques propres. Tous ces chiens ont en effet des caractéristiques communes.
Le berger créole est robuste, très résistant, rarement malade, fidèle, extrêmement malin et intelligent, doué d'une grande faculté d'adaptation, débrouillard. Toutes ces qualités font de lui un chien bien attachant.
Du flair, de l'instinct, de la débrouillardise, ce chien se montre bon chien de garde facile à éduquer. Le point faible est son côté craintif. Cela peut devenir un point fort si l'animal se sent en confiance et bien intégré dans sa famille d'accueil.
Ce chien aujourd'hui est domestiqué, il est entré dans les maisons et se montre à la hauteur de son rôle de gardien de famille.
Il a la réputation d'être un animal d'une très grande richesse alors qu'il fut l'objet jadis des légendes Antillaises les plus maléfiques. Les Antillais pensaient que les chiens créoles étaient l'incarnation des âmes maléfiques.
😉
" "Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre."
[François Mauriac] "