1/ j’ai toujours voulu un chien, ma mère me dit en plaisantant que c’était mon premier mot ! Après avoir eu lapins, chat, poissons, mes parents ont cédé et j’ai eu mon premier chien à 7 ans. Un Bouvier Bernois, pris à Berne en suisse dans un grand élevage. Mes parents étaient ok pour un chien mais mega lof !
On m’a répété sans cesse que les chiens de refuges étaient des tarés, méchants, ou avec des problèmes de santé...
1/2/3/ Harry, 7 ans : braque de Weimar d’élevage réputé (donc assez gros même si pas usine). Le choix était à l’origine plutôt esthétique : athlétique, poils court... bref des restes de mes tentatives d’agility avec mon Bouvier dans mon jardin.
Milo, 3 ans : braque allemand adopté y a 10 mois suite à la perte d’un autre braque allemand Fast, lui aussi adopté.
4/ Harry est allé au club canin (encore cette histoire d’agility 🤣) mais Harry n’était bon qu’en oberythmee, il a toujours adoré qu’on le regarde. Moi j’aimais pas trop ça, donc canicross. Éducation légère pour avoir une vie harmonieuse. Forcément des erreurs, forcément des changements de techniques, des ratés, des « oh zut, j’aurais pas du réagir comme ça » et un gros OUF, ILS SONT FACILES QUAND MÊME MES LOUPS....
Si je pouvais changer qqch, je n’aurais pas éduqué Harry seul les trois premières années, il est anxieux et je pense que si il avait eu un « grand frère », ça aurait été plus facile pour lui.
5/ mis à part le point de vue financier, sinon je faisais tout pour mon premier chien: éducation, nourriture, nettoyage, donc finalement....
6/harnais et collier, ça dépend de l’activité, nourriture industrielle et dodo à disposition dans deux pièces du rez de chaussée, étage interdit (donc chambre), mais grosse sieste sur le canapé autorisé et nuit dans la tente aussi 😉
7/ les contraintes.... certaines sorties sous la pluies de nuit, non on oublie vite. Le stress de rentrer quand on a une tuile au boulot et forcément organiser les gardes, même si ils sont habitués à la pension, je suis pas vraiment tranquille de les laissés.
Finalement le plus mauvais côté, c’est de ne plus pouvoir se passer d’eux 😉