Je suis vraiment bivalent. D'abord, faut bosser avec le chien qu'on a. Avec Sana, les risques d'un traumatisme sont carrément nuls. Mais franchement, je n'ai pas prévu essayer de toutes façons. À date je mise donc sur une prise de conscience partielle, s'échelonnant sur des années. Elle "sent" que la rue est plus dangereuse, car je prends un ton paniqué dès qu'elle s'en approche. Ça me suffit.
Tout pareil avec Molène !
À l'époque où son obéissance était encore vraiment aléatoire, il y a eu un incident : un pigeon qui a fait une drôle de courbe pour s'élancer sur une avenue, et un arrêt à mon "STOP !" paniqué, à la seconde où je l'ai dit, plus propre que ce que j'aurais jamais pu espérer en conditions d'entraînement.
Le chien perçoit clairement l'intensité, que ce soit dans la voix où l'attitude de son maître.