Bonjour,
Ne prenez pas ça pour une leçon de psychologie, ce n'en est pas une. Je trouve que l'on néglige souvent la solitude du chien, c'est un problème réel ! On entend souvent "si je comprends bien, il faut être chômeur pour avoir le droit d'avoir un chien !"... pour moi, adopter un animal pour une quinzaine d'année n'est pas un droit !
On ne prend pas un chien comme on choisit une voiture. Je ne vous juge en aucune façon, je parle d'une façon générale et c'est mon point de vue, je ne cherche pas à l'imposer... seulement aider à réfléchir...
Souvent on a envie de prendre un chien parce que c'est sympa, quand on rentre du boulot, d'avoir un chien qui nous fait fête, qui est toujours content de nous voir, quoi qu'il arrive. On a aussi souvent envie d'avoir un compagnon pour se promener le week-end. Mais il faut bien penser que ces petits plaisirs sont un peu égoïstes. Parce que c'est quoi la vie d'un chien seul 9 h/jour ? Seul entre 4 murs, sans TV, sans PC, sans téléphone, sans tablette, sans livre, sans bruit, plus 8 h la nuit... même si les chiens dorment beaucoup, ils ont besoins de sorties et d'interactions avec d'autres chiens et des humains, au risque de développer des comportements indésirables.
Tout ça pour dire qu'avoir un chien quand on travaille, oui, mais en trouvant des arrangements et en particulier quelqu'un pour venir sortir le chien au milieu de la journée : pour son confort urinaire, et pour briser un peu sa solitude...
" "Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre."
[François Mauriac] "
J'ai oublié de dire aussi que pour moi il n'est pas concevable de condamner un chien à passer toute sa vie à attendre...
" "Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre."
[François Mauriac] "
Vous pouvez peut-être trouver une solution pour que quelqu'un passe en milieu de vos absences (amis, voisins, famille ou éventuellement un pet-sitter s'il en existe près de chez vous.
" "Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre."
[François Mauriac] "