Bonjour à vous,
Ma femme et moi avons un jeune (1 an et demi) Bouledogue Français (Gollum 🙂) et avons souhaité en adopter un deuxième car nous avions l'impression que note chien s'ennuyait un peu à force si on ne s'occupait pas de lui. Il n'a jamais été un gros joueur avec les objets inanimés, alors qu'avec nous ou d'autres chiens il semble s'épanouir totalement.
Nous avons donc pris un deuxième petit Bouledogue Français de 2 mois, du nom de Nikka et ils s'entendent comme cul et chemise et son totalement inséparables Pour Gollum, pari réussi. Il est clairement plus joyeux et plus éveillé, même s'il reste vraiment une pâte, ce qu'on adore chez lui.
Si on ne tient pas compte des 3 premières nuits du nouvel arrivant où il s'est largement exprimé de pleurs et de cris de goret qu'on semble égorger, il demeure un réel souci d'anxiété chez lui et ma femme et moi ne sommes pas sûrs de savoir le gérer (en effet, le grand n'a jamais pleuré ni montré un signe d'anxiété mais il avait 3 mois et 3 semaines lors de son adoption et avait une mère dévouée, calme et câline, ce qui a dû aidé).
A savoir, Nikka était l'unique de la porté, sa mère l'a rejeté (donc élevé par l'homme et mis en enclos avec un autre chiot légèrement plus âgé) et donc il n'a pas reçu l'éducation de sa mère mais celle des éleveurs.
Le problème : lors de notre absence, comme Gollum, Nikka est dans un enclos (comme chez les éleveurs, mais il y est seul). La nuit, tout va bien, mais le jour, il hurle à s'en péter les cordes vocales pour qu'on le sorte et en général, c'est pour rejoindre son grand frère (oui, ils sont demi-frères). Comme l'un est propre et l'autre non, nous ne voulons pas qu'ils partagent le même enclos pour le moment.
Nous pensons aussi qu'il doit apprendre à être seul, même si dans les faits, ils sont dans la même pièce, ce qui peut-être est une erreur.
Sur les sites spécialisés on lit tout et son contraire, notamment sur le principe de céder ou non aux pleurs du chiots pour le rassurer ou lui apprendre que pleurer ne lui apportera rien.
Compte-tenu de son côté orphelin et de son jeune age, nous avons l'impression que le laisser s'égosiller jusqu'à ce qu'il en ait marre puis dorme (schéma habituel) n'est pas forcément adapté, voire renforce ses anxiétés. Mais dans un autre sens, si on cède, nous craignons qu'il s'en serve toute sa vie pour obtenir ce qu'il veut
Notre peur : qu'il développe / augmente l'anxiété de l'abandon (sûrement initiée par le rejet de la mère, même si les éleveurs ont dû faire le nécessaire pour en limiter les effets), qu'il devienne destructif, une nuisance sonore et une source d'anxiété et de stress également pour nous.
Je vous remercie par avance pour les conseils avisés que vous saurez me promulguer pour bien gérer cette situation.
Alors, à vos claviers 😉 ?