Bonsoir à tous, je viens à vous pour vos conseils concernant ma chienne berger australien de 10 semaines qui pourrait souffrir d'hyper-attachement? (long sujet message coupé).
Pour la parenthèse j'ai en plus une problématique particulière suite à un arrêt maladie ma semaine de congé la semaine prochaine à été annulée donc je stresse j'ai qu'un week end pour faire au mieux j'imagine que ça sera pas suffisant mais bon j'attends des conseils pour déjà appliquer les bonnes méthodes.
J'explique, je l'ai seulement depuis hier. La laisse est inutile (hormis s'il y à danger) car elle me suit à la trace, j'essaie de lui faire voir le plus de chose possible car elle n'a pas vu grand chose a part ses frères et soeurs, sa maman et un cheval, chez l'éleveur elle était pourtant sociable elle venait vers moi et j'imagine les autres acquéreurs de chiots. Elle est craintive au début puis au bout de deux caresses de passants ça va mieux. Mais elle se met toujours entre mes jambes au bout d'un moment. En fait elle est jamais bien loin. J'essaie donc de la faire partir loin de moi mais j'ai pas de méthode à part sa balle et ou un jouet mais finalement elle leur accorde que très peu d'importance si c'est trop loin (peut être 5 mètres maximum) elle ira pas, elle viendra juste se coucher à mes pieds. Chez moi je lui ai interdit l'accès à tout ce qui est chambre, salle de bain, toilettes. Donc autorisé cuisine, salon et une pièce que je pensais lui attribuer pour plus de calme. Mais elle l'a pas du tout adopté (j'ai essayé de la faire venir dans le panier en y allant vu qu'elle me suivait partout mais pas là (j'avoue ne pas savoir pourquoi mais voilà). Donc je l'ai laissée dans le salon la nuit dernière car c'était une pièce qu'elle connaissait et je crois qu'elle y était rassurée. J'avais fait des mini sessions de départ dans l'après midi pour faciliter la première nuit. Au début c'était plutôt fort les cris puis c'était un ou deux seulement au moment d'aller se coucher. Donc nuit tout à fait gérable vis à vis des voisins même parfaite je dirai. (c'est vraiment pour eux que les pleurs me gênent).