Plutôt qu'une loi qui impose/interdit la liberté aux chiens dans certains espaces verts (à vrai dire, presque partout en fait!), on pourrait imposer (par une loi aussi) aux gens d'aller marcher uniquement et/ou pique ****** uniquement ->> en ville .
L'homme ayant détruit tellement d'espaces verts pour s'assurer du confort -->> qu'il en profite pleinement!
Et imposer aussi aux sportifs d'aller courir ou faire du vélo... dans les salles de sport.
Ils seront sûrs (ou presque sûrs pour la ville, ou faire une loi là aussi) de ne pas être importuner par des chiens en liberté.
Elle ne serait pas belle la vie ? L'homme --gentil-- aura ce qu'il voulait ->> plus de chiens --méchants-- dans les pattes.
Ca règlerait le problème du partage des espaces.
Un pour chaque ''espèce''.
Si on peut faire ce que l'on fait actuellement, l'inverse (décrit ici même) est tout à fait faisable aussi.
Pourquoi avoir tranché en faveur de l'homme ? parce qu'il a besoin d'espaces verts ? fallait y penser avant de tout détruire ou presque.
Et puis, comment l'entendre de la part de ceux qui se fichent pas mal des mêmes besoins chez le chien, encore plus prononcés que chez l'homme par ailleurs, et puis, c'est pas l'idée du chien de réduire toujours + les espaces verts, mais on s'en fout pas mal hein de ça, de ce qu'on leur impose. Par contre, ouh là là, faut pas 'imposer'' son chien aux autres hein c'est choquant, t'ention hein, alors qu'il ne s'agit même pas d'imposer. C'est grave quand même de tricoter tout une histoire basée sur des trucs complètement foireux.
Si les chiens pouvaient parler et se défendre, il en serait sûrement autrement de tout ça
Comment ne pas voir l'abus et continuer du haut de son perchoir à faire la pluie (pour qui?) et le beau temps (pour qui?) et ''justifier'' par la normalité, normalité qui n'existe pas, qui ne veut absolument rien dire !
C'est honteux d'être aussi nombriliste et oser parler de savoir vivre et de respect de l'homme (pas de chien qui vienne l'importuner, blabla) quand celui du chien est bafoué et oser dire après tout ça ''j'aime les chiens''.