Bonjour à tous,
Je n’ai pas l’habitude de publier sur des forums mais je suis face à un assez gros problème avec mes deux chats.
Ils sont atteints de calicivirose hypervirulente.
Les événements sont allés très vite :
Dimanche 27/02 au soir nous rentrons et Obi (âgé de 8 mois) a vomi et il semble tout patraque. Nous mettons cela sur le coup du vomi et allons nous coucher. La nuit il ne vient pas miauler à notre porte pour qu’on lui ouvre (comme il a l’habitude de faire toutes les nuits), et le matin il ne vient pas me faire de câlins dans le lit. En parallèle Mimine (âgée de 5 mois) est en pleine forme, aucun signe de maladie ou d’affaiblissement. La journée de lundi Obi reste couché, il ne se déplace pas, ne mange pas et ne boit pas. Je contacte donc notre vétérinaire habituelle qui nous donne un rdv pour 16h. Lors du rdv elle ne sait pas ce qu’il a, il est à 40°C de fièvre. Elle le met donc sous antibiotiques pour éviter une surinfection, et nous demande de la re contacter le lendemain s’il ne va pas mieux pour une hospitalisation.
Le lendemain, mardi 01/03, il n’est toujours pas en forme, c’est même pire que la veille car Obi n’arrive même plus à monter sur le canapé tellement il est faible. Je rappelle donc la vétérinaire et le dépose pour une hospitalisation.
Le lendemain, mercredi 02/03, la vétérinaire m’appelle et m’indique qu’elle garde mon chat encore une nuit, mais que je peux passer le voir. J’y passe, je fais des câlins à mon chat. Je suis surprise par la quantité de poils qu’il perd, et je découvrir des petites plaies au niveau de la base de ses oreilles. Je demande aux assistantes qui étaient avec moi de quoi il s’agit, elles me disent qu’il s’est peut être battu avec Mimine. Mais je ne comprends pourquoi je ne m’en serais pas rendu compte avant, je ne relève pas ce qu’elle me dit car je n’y vois pas de lien avec son état. Il a également une tête malade, avec de tous petits yeux et un nez noir. En parallèle, Mimine commence à avoir un comportement étrange également : elle reste couchée, ne joue plus. Nous pensons à une petite déprime car son compagnon n’est plus là.