Titain : je me suis dit exactement la même chose !
Pour répondre à tes question, oui, j'arrive à gérer, j'i pris l'habitude, mais je fais passer mon chien avant tout, car il est tout pour moi.
Je suis en première S, et j'arrive à assez bien gérer le tout, je ne fais pas de sport, et je n'ai quasiment pas de loisir (même avant d'avoir mon chien). Personnellement, le trouve les gérer pas trop longues, je ne suis pas plus fatiguée qu'avant, je fais juste quelque chose de mes journées au lieu de glander, et passer mon temps devant des séries ^^
Après, c'est vrai que je préfère passer une journée avec mon chien plutôt que d'aller trainer avec des potes en ville. Mais j'ai toujours été comme ça !
Depuis que j'ai 4 ans, je voulais un chien, ça a toujours été le labrador ou le golden, et l'année dernière, ma mère m'a fait la merveilleuse surprise de m'offrir une golden de 2 mois. Ça été le plus beau jour de ma vie, et c'est à ce moment que je me suis rendue compte que ma mère avait eu raison de me faire patienter, je n'aurais jamais été capable de m'occuper d'un chiot avant mes 15 ans, je n'étais pas assez mature, je n'avais pas assez de temps, je ne pouvais pas sortir le soir jusqu'à minuit, etc... je n'aurais pas eu envie de sortir le chien à 6h40, ça m'aurait pris la tête.
Malheureusement, ma chienne est morte la veille de ses 1 an d'une leptospirose, je l'ai vue me quitter en une semaine, ça été terrible pour moi, un véritable choc, une épreuve très dure. Elle était tout pour moi, et je donnais tout ce que j'avais pour elle.
Puis, on a repris un golden, il a eu quatre mois dimanche dernier c'est un amour, et je revis les choses différents, car ils ne sont pas du tout les mêmes.
Pour en revenir à ta question, heureusement que m'a mère n'a pas craqué avant mes 15 ans, je n'aurais pas su gérer toute seule, et elle n'aurait pas pu m'aider, étant donné qu'elle travaille beaucoup. Il faut dire que l'éducation de mon chiot me prend tout mon temps libre, mais c'est un véritable plaisir pour moi. Mais je lui dis encore merci d'avoir attendu, et de ne pas avoir craqué, car on aurait rendu un chien malheureux.