Ici la seule histoire qui sort désormais du lot est celle de Dingo.
Je vivais chez mon ex, avec ma chienne gypsie. Mon ex avait un ami, qui vivait avec son beau fils et sa femme. Ils ont décidé de prendre un chiot chacun. De temps en temps donc, je voyais ses chiots en venant avec ma chienne.
Il y avait deux chiot ; celui de l'ami de mon ex ( Ludo) et l'autre, celui du beau fils (Tony). Les enfants de Ludo jouait avec celui de Ludo, il avait toute l'attention et celui de Tony, était rejeté, on ne jouait pas avec. J'ai demandé pourquoi. Ludo m'a dit que Tony l'avais pris car il avait vu Ludo prendre un chiot et avait voulu faire pareil, donc il tentait de le responsabilisé en ne s'en occupant pas, et en disant a ses enfants que s'était pas leur chiot.
Tony a déménagé, et je ne voyais plus son chiot. C'était un drogué a tendance violente ( notamment avec sa femme) et je le fréquentait pas. Mais un jour, il nous a invité à passer chez lui. Mon ex ne voulait pas refuser vu l'animal que s'était.
Et là, j'ai revu Dingo. Il était sur une terrasse de 2m carré, dont il ne sortait jamais. Il était nourri avec un quignon de pain jeté par la fenêtre de temps en temps, et buvait 2-3 fois par semaine dans le sceau d'eau sale et pleins de javel/produits chimiques du ménage que la femme de Tony sortait sur le pallier. Il était gronder et frapper lorsqu'il faisait ses besoins sur la terrasse ( il les aurait fait ou sans être sorti ?)
J'ai donc proposé de le sortir avec ma chienne... Et finalement je l'ai gardé 2 semaines. Je l'ai nourris, promener, jouer etc...
Et je l'ai rendu en donnant un sac de croquettes, pour LUI. En repassant deux semaines plus tard, le sac de croquettes neuf était toujours intact, pas ouvert. "Oh, j'y ait pas pensé, et il va très bien"
S'en est suivi plusieurs semaines à tenter de convaincre son propriétaire qui venait d'avoir un bébé quel travail ça représentait ce chien pour lui, qu'elle épine dans son pied, comme lui qui était si gentil et si doux devait être encombré par les responsabilités de ce pauvre animal ( puisqu'il n'avait jamais le temps de le sortir, puisqu'il n'avait pas le temps de l'éduquer, puisqu'il n'avait pas l'argent de le nourrir - mon œil, mon sac offert n'a jamais été ouvert). Et en plus, quel travail de nettoyer ses besoins sur la terrasse !
Et a convaincre sa femme, et ses proches, a quel point le pauvre, il s'en sort pas avec ce chien... Quelle responsabilité pour lui avec un enfant en bas âge.