@Lorna, marrant je me suis posé la même question (c'est quand même un chouille excessif, non ?)
Sinon, pour abonder dans votre sens, toujours dans ma famille j'ai eu l'exemple inverse du chien de mon oncle. C'était le chien de ma tante (pas l'épouse de mon oncle précédemment cité bien sûr).
Elle avait un york qui sortait peu, n'a pas cotoyé d'enfant sur les 5 premières années de sa vie, jamais éduqué (et, heureusement, aucune violence pour répondre à ses comportements indésirables) : ça aboyait, ça décidait que tout ce qui était à hauteur de son nez lui appartenait (malheureusement son nez était assez haut pour les tables basses de leur salon). Je ne compte pas le nombre de fois qu'il a gniaké la main d'un fumeur tentant d'attraper son briquet (en sales gosses que nous étions, on essayait de provoquer l'incident en rapprochant les briquets des bords de tables...).
Avec les années, j'ai fini par avoir de la compassion pour ce chien comprenant que ces comportements indésirables étaient l'expression d'un mal être et d'un besoin d'avoir un maître, des règles, un cadre structurant.