Le chien dominant

Kikaah
Kikaah
@gally_shiba - @plume_kirua_cats

Hello !

Je vais faire un copier collé d’un article, qui parle de dominance et dont je suis tout à fait d’accord, je met le lien ici : https://www.primitif-addict.com/comportement-canin/mon-chien-veut-me-dominer-mon-chien-est-dominant/

Le texte :

La dominance chien vs humain, donc inter spécifique

C’est le propos qui est le plus polémique ! On peut distinguer deux courants de pensée différents, ceux qui pensent que le chien essaye de dominer son maître et ceux qui pensent que la dominance interspécifique n’existe pas.

Beaucoup de gens vont voir des comportementalistes ou cherche sur internet comment régler des problèmes de dominance chez leur chien. Mais qu’est-ce que cela veut dire ?

Le chien essayerait tout le temps et à tout prix à nous dominer ? Il serait cet être maléfique qui ne cherche qu’à nous écraser en imposant sa supériorité ?

Je pense qu’on inverse les rôles ! C’est la plupart du temps l’homme qui cherche à prendre le pouvoir, à avoir un être sous son contrôle, à vouloir tout décider quitte à écraser ce qu’il y a sur son chemin !

Le chien est un animal social et je pense qu’on ne le répète pas suffisamment ! Il aime vivre en groupe et a un instinct grégaire très fort. Ce qui lui fait plaisir c’est de vivre en harmonie avec ses humains. Pourquoi prendre un chien si on pense qu’il est plein de mauvaises intentions ?

Le courant de pensée qui induit que la dominance interspécifique n’existe pas nous donne comme exemple un troupeau de vaches et un cheval. Nous savons que le cheval est lui aussi un animal qui vit en communauté et a des codes hiérarchiques bien précis. Dans un pré vous avez donc un troupeau de vaches, la chef désire rentrer alors toutes les autres vaches la suivent. Seulement le cheval, lui, reste au pré. Il n’est pas concerné par les codes de dominance des vaches, ce sont deux espèces différentes…

" 𝑰𝒏𝒔𝒕𝒂. @gally_shiba - @plume_kirua_cats "
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Kikaah
Kikaah
@gally_shiba - @plume_kirua_cats

(Suite) A la maison avec votre chien c’est la même chose ! Il sait très bien que vous n’êtes pas un chien ! D’ailleurs nous ne savons pas super bien communiquer avec eux et nous n’avons pas les mêmes codes, Le chien arrive bien mieux que nous à décoder des attitudes et de petits gestes tels que des clignements d’yeux ou de légers mouvements de tête. C’est nous qui détenons toutes les ressources dont le chien à besoin, pas besoin de le rabaisser pour qu’il comprenne qu’il est dépendant de nous. Vous ne ferez que lui montrer que vous n’êtes pas un bon leader. Un bon leader n’impose pas, il est suivi de façon volontaire par les autres ! J’ai pensé il y a longtemps que cette dominance chien/humain existait alors j’ai suivi les principes tels que passer une porte avant son chien, manger avant lui, lui interdire le canapé etc. J’ai vite été embêtée par tous ces principes et la relation que je créais avec mon chien ne me convenait pas !

Pour tous ceux qui pensent que le chien cherche à dominer l’homme et qui appliquent certains principes basés sur la dominance, j’ai une question ! Puisque vous vous comportez comme un chef de meute en faisant semblant de manger dans la gamelle de votre chien, en le retournant sur le dos par la peau du cou, pourquoi ne pas lui sentir le derrière quand vous lui dites bonjour ?

" 𝑰𝒏𝒔𝒕𝒂. @gally_shiba - @plume_kirua_cats "
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Jean-Yves
Jean-Yves

Dans cet article la définition du comportement dominant est un peu trop caricatural à mon gout.

Voici un autre article qui correspond plus à ce que je pense:

https://www.caniscool.com/allmy/uploads/2016/01/Dominance.pdf

Bon ça fait 10 pages de lecture mais c'est intéressant.

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Utilisateur anonyme
Utilisateur anonyme

Bonsoir !

Merci Kikaah de lancer ici un débat très intéressant !

Personnellement, je trouve l'article un peu trop orienté... Mais bon, pourquoi pas !

Selon nous (mon conjoint et moi), la dominance interspecifique existe bien.

Quand tu parles des règles à suivre au quotidien... Je comprends bien cependant il s'agit de la pose d'un cadre cohérent, rien de plus et rien de moins, selon nous.

Le chien est de tempérament dominant ou soumis, peut importe. C'est une nature que nous, nous reconnaissons. Ils le sont face à des congénères et face à nous, selon la situation ou les énergies qui se rencontrent si on veut...

Pourquoi le dominant serait il diabolique et par déduction le chien soumis, en quoi serait il gentil ou meilleur ? Il y a absence de vision de bien ou mal, il s'agit seulement de nature et d'instinct.

Le cadre et les règles posées chez nous par ex, je pense qu'il s'agit d'un rappel ou d'un garde fou si l'on veut pour éviter les incohérences... Après chacun les module bien à sa manière et selon sa vision de la relation avec son chien, de la complicité et de la confiance qui s'installe.

Perso, quand elle fait une bêtise, bah déjà c'est très drôle ! Mais on ne se dit pas, "ça y est elle cherche à nous dominer", ni quand elle tirait en laisse ou fonce à travers les portes...

Peut être que le mot "dominant" dérange ? (il dérange davantage que "soumis" j'ai remarqué), peut être parce qu'il renvoie à une autorité, à un cadre, à une hiérarchie ? Oui mais il ne renvoie pas à autorité abusive, intolérance envers le moindre écart ou même conflit. Pourquoi y aurait il conflit ? Pourquoi un chien dominant chercherait-il H24 à nous dominer ? (c'est l'impression que m'a donnée l'article)

Au contraire si tout est clair, que le cadre est bien installé, pas de conflit, pas besoin même de hausser le ton... Il s'agit alors de confiance et de respect mutuel. (euh par contre on reste les chefs ! Hehe parce que c'est qd même plus sécurisant. Si elle fonce sur la route pr être la première à traverser... Problème hein 🤣)

Bon voilà en gros pr nous, désolée c'était sûrement un peu fouilli... Je rentre d'une balade de 3 boxers !

Kikaah, j'ai adoré ta question sur le fait de renifler son derrière 😂 alors oui ça m'arrive de le faire qd on joue à la bagarre, je fais semblant de la renifler aussi, je la plaque au sol aussi 😂, quand elle soupire, je soupire plus fort, quand elle court je cours ds l'autre sens...

Des gamins j'ai dit 😁

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Utilisateur anonyme
Utilisateur anonyme

Le sujet est riche de références, mais pour ma part, je vais faire assez court et simple, sans être simpliste j'espère ;-)

Pour le contexte : je me réfère à nombre d'études éthologiques, pas mal d'expériences validées scientifiquement sur les chiens en leur qualité d'animaux de compagnie et je garde en tête les racines de la domestication des loups les plus sociaux par nos vieux vieux ancêtres.

Sur la base de ce que viens de lister et à l'aune de mes propres observations qui convergent dans le même sens, il me semble incontestable que les chiens ont BESOIN de savoir quel rang social ils occupent à la maison.

Ils vont plus ou moins essayer de "monter en grade" selon l'éducation, leur race, leur âge et leur tempérament.

Nous avons choisi de les accueillir chez nous en tant qu'animal domestique... à mon sens cela nous oblige à être un minimum bilingue, en gardant à l'esprit qu'eux n'ont rien choisi ni demandé à la base.

Alors oui, il y a une hiérarchie à établir et à maintenir à la maison pour leur équilibre personnel et l'équilibre de tous. Cela n'implique absolument pas de faire preuve d'autorité ni d'autoritarisme.

Mais développer ce dernier point mériterait un sujet à part entière, donc j'arrête là.

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Mel1
Mel1

@Kikaah cet article est tellement caricatural que ça le decridibilise...

Aaahhh le vilain canidé qui ne cherche qu'à dominer les humains VS la domination interspécifique n'existe pas... Ouais, bof... Celui qui a écrit l'article n'avait pas beaucoup d'arguments pour défendre "sa cause"...

Je suis d'accord avec Patou, Marie.

La dominance interspécifique existe, et pas seulement humain/chien. Chien/chat aussi. J'ai un chat (dominant ?) qui a mauvais caractère, c'est lui le chef de la maison (pour les chats et le chien).

Après dominer son chien ça ne veut pas dire l'écraser, le réduire, l'aplatir, etc...

Ben non être le dominant ça veut juste dire être celui sur lequel le chien se repose, celui en qui il a confiance.

Enfaite c'est juste l'humain qui a du mal avec mots. Mais même ceux qui croient que la dominance interspécifique n'existe pas la pratique. Ou alors c'est le bordel chez eux lol Et ça je l'ai observé chez des amis, le chien qui vient se coucher sur la table du salon quand on boit le café, et tout un tas d'autres trucs 😅 pour le coup c'était même pas un chien dominant, juste un chien sans aucune règle... Mais si on ne doit pas dominer son chien alors on ne doit pas non plus lui imposer des règles de vie d'humains ^^

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Jador
Jador

Le thème de la hiérarchie de dominance revient souvent dans la relation homme/chien.

On entend parfois que le propriétaire du chien doit se positionner en chef de meute. On entend aussi que certains chiens sont dominants ; comme s'il s'agissait d'un trait de caractère ou d'une personnalité.

Essayons d'y voir plus clair...

Mythe : hiérarchie de dominance entre l'homme et le chien

source : http://adcanes.fr

Un peu d'éthologie

Le premier problème avec le thème de la hiérarchie de dominance est qu'il se heurte à des problèmes de sémantique et d'abus de langage. Et il y a parfois un gouffre entre l'interprétation d'un mot au sens le plus général et son interprétation selon la science qui étudie le comportement animal : l'éthologie.

Je vous propose donc, pour commencer, de faire la distinction entre dominance, dominant, hiérarchie de dominance et comportements agonistiques, selon ce que l'éthologie nous en apprend.

Dominant : C'est un rang au sein d'une organisation sociale hiérarchisée.

Contrairement à une croyance populaire, ce n'est pas un trait de caractère ou une personnalité.

Pour qu'un individu soit dominant, il lui faut les compétences nécessaires à la survie du groupe (chasse, reproduction, gestion des conflits, protection des ressources). De ce fait, aucun petit ne peut être dominant.

Les dominants peuvent avoir des prérogatives pour l'accès à certaines ressources. Cela dit, sur ce dernier point, la survie prime avant toute considération sociale. Il se peut donc, selon les circonstances, que les dominants n'exercent pas leur droit si cela peut provoquer l'affaiblissement d'un/des individu(s) et donc du groupe.

Dominance : C'est un comportement ponctuel, éphémère et fluctuant selon la motivation de chaque individu par rapport à une ressource. Il naît de la compétition ou du conflit pour accéder ou protéger une ressource. La dominance n'implique aucune hiérarchie ; sinon on parlerait de hiérarchie de dominance (voir plus loin).

Pour faire simple, la dominance est un phénomène ponctuel dans une interaction entre les individus là où le dominant est un statut stable.

Hiérarchie de dominance : En éthologie, ce système se fonde sur l'organisation hiérarchique d'un ensemble de dyades* d'individus de la même espèce** et appartenant au même groupe social stable***. Ce type d'organisation sociale ne dépend pas d'un comportement spontané mais d'une nécessité liée à des besoins spécifiques (coordination des actions de chasse, reproduction, protection des ressources, réduction des conflits) ainsi qu'à l'écosystème.

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Jador
Jador

* Un ensemble de dyades implique au minimum 3 individus. Par exemple la dyade A et B, la dyade B et C et la dyade A et C.

Selon les interactions entre chacune des dyades, la hiérarchie peut être exercée de façon :

- linéaire (A domine tous les autres, B domine tous les autres sauf A, C domine tous les autres sauf A et B, etc.),

- circulaire ou triangulaire (A domine B, B domine C et C domine A),

- pyramidale (A domine tous les autres ; B1 et B2 sont égaux et dominent tous les autres sauf A ; C1, C2, C3 et C4 sont égaux et dominent tous les autres sauf A, B1 et B2, etc.)

** Individus de la même espèce implique le plus souvent des individus de la même famille. Mais même sans cette considération, il est déjà impossible de parler de hiérarchie de dominance interpécifique (entre 2 espèces différentes).

*** Un groupe social stable exclut inévitablement toute forme de hiérarchie de dominance entre des individus n'appartenant pas au même groupe social.

Comportements agonistiques : En éthologie, les comportements agonistiques concernent l'ensemble des rituels et comportements visant à régler les conflits. Ces comportements peuvent s'observer en milieu interspécifique et sans nécessité d'appartenir à un même groupe social.

Les chiens domestiques vivent-ils en meute ?

La réponse est non, quelle que soit la race du chien.

Pour qu'un chien éprouve le besoin de s'organiser en meute, il faudrait au minimum que l'homme n'intervienne plus pour combler ses besoins vitaux, instinctifs et sociaux... ce qui impliquerait donc qu'il ne soit plus domestique.

Quand on parle des chiens de traîneau, on dit souvent qu'ils sont constitués en meute. En fait, dans ce cas, le terme de meute est abusif car les chiens de traîneau ne sont pas réellement organisés en meute mais plutôt en système coopératif ayant pour seul but de courir ensemble. De plus, leur organisation est décidée par compétence et non par dominance. On pourrait alors parler de hiérarchie de compétences décidée par l'homme.

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Jador
Jador

Les chiens domestiques vivent-ils en hiérarchie ?

La réponse est non.

En milieu intraspécifique, il existe des actes de dominances et de subordination selon la motivation d'un individu sur un autre par rapport à une ressource (voir Dominance). Un chien domestique peut faire preuve de dominance mais aucun chien domestique n'est dominant (voir Dominant).

Pour qu'un chien domestique soit dominant, il faudrait réunir plusieurs conditions :

- Qu'il soit suffisamment grand pour assumer un tel rang dans un groupe social. Un chiot ne peut pas être dominant.

- Qu'il soit dans un groupe social intraspécifique. Il n'y a aucune forme de hiérarchie de dominance interspécifique.

- Qu'il en ait la nécessité. Cela implique directement sa survie et tous les besoins qui y sont liés. Or, avec le chien domestique, c'est l'homme qui se charge de la survie du chien.

Le chien n'a pas à s'organiser socialement pour chasser, c'est l'homme qui le nourrit.

Le chien n'a pas à s'organiser socialement pour se reproduire, c'est l'homme qui permet et organise la reproduction.

Le chien n'a pas à s'organiser socialement pour protéger ses ressources, c'est l'homme qui procure et protège les ressources nécessaires.

Le chien n'a pas à s'organiser socialement pour réduire les conflits car là encore, c'est l'homme qui règle les problèmes relationnels.

Le chien n'a tout simplement aucune nécessite à être organisé selon une hiérarchie de dominance.

Peut-il y avoir hiérarchie de dominance entre deux chiens qui se rencontrent dans la rue ?

Absolument pas. Contrairement aux comportements agonistiques, pour qu'il y ait hiérarchie de dominance, il faudrait que les deux individus appartiennent au même groupe social.

Les éventuelles comportements agressifs peuvent avoir plusieurs origines mais pas le besoin d'établir une hiérarchie.

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Jador
Jador

Peut-on parler de chien dominant quand celui-ci n'obéit pas, se montre agressif et/ou prend certaines libertés ?

Absolument pas.

Un chien qui n'obéit pas le fait essentiellement par besoin d'obéir à une motivation supérieure. Il peut s'agir de motivations vitales ou instinctives (supérieures aux motivations sociales) ou de motivation à garder une ressource (canapé, os, attention). Il peut aussi ne pas obéir car il n'a pas été correctement conditionné (voire les conditionnements opérants). Mais à moins de "casser" le chien, aucun conditionnement n'est prépondérant sur un besoin vital ou instinctif.

Et enfin, le chien peut ne pas obéir en raison du stress (résultant de la peur, de l'anxiété, de la joie, de l'excitation, de la détresse, ...), de l'humeur, de l'émotion, du manque de motivation ou encore d'une pathologie. Toujours est-il que la défiance volontaire d'autorité ne fait pas partie des comportements du chien.

Un chien qui se montre agressif envers son maître peut le faire pour plusieurs raisons :

Comportement réactif → Le chien est soumis à des moyens coercitifs ou aversifs qui peuvent le pousser à avertir son maître que la situation ne lui convient pas.

Comportement réactif → Le chien tente de protéger ou garder une ressource acquise qu'on cherche à lui reprendre.

Comportement réactif → Le chien est atteint d'une pathologie pouvant causer douleurs, troubles émotionnels, de l'humeur et du comportement.

Comportement proactif → Le chien est de nature agressive et soumis à des pulsions. Cela peut aussi arriver en cas de pulsions sexuelles.

Contrairement à une idée très répandue, l'agressivité, la violence et les démonstrations de force sont à l'opposé des comportements observables chez les animaux dominants dans une organisation hiérarchisée. On les observes bien plus chez les dominés ayant quelque velléités ou chez des individus extérieurs au groupe social et cherchant à profiter d'une ressource (sexuelle ou alimentaire). Ces comportements sont sources d'instabilité, de conflits et même parfois de blessure. Ils vont donc à l'encontre des intérêts du groupe.

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Jador
Jador

Quant au chien prenant des initiatives et des libertés sans attendre de savoir si son maître est d'accord, il est important d'expliquer que le chien est un animal opportuniste et hédoniste.

Opportuniste parce qu'il cherchera à profiter de la moindre situation qui peut lui être immédiatement profitable. Hédoniste parce cette recherche de situation est aussi motivée par la recherche de confort et de plaisir. En aucun cas ces agissements ne sont motivés par la dominance. Et encore moins par un statut de dominant.

L'homme doit-il être le chef de meute pour son chien ?

Absolument pas.

Les explications précédentes permettent de résumer les choses ainsi :

En milieu intraspécifique, le chien domestique ne vit pas en meute

En milieu intraspécifique, le chien domestique ne vit pas selon une hiérarchie de dominance

En milieu intraspécifique, et en terme de système social, le loup sauvage et le chien domestique ne sont pas soumis aux mêmes besoins et donc aux mêmes nécessités d'organisation.

La question n'est donc pas de savoir si l'homme doit être le chef de meute pour son chien mais plutôt de se demander au nom de quoi il le serait. Et en l'absence d'explication logique et éthologique sur cette nécessité d'organisation sociale entre l'homme et le chien, la réponse est à chercher uniquement dans les croyances et les frustrations de l'homme.

J'aurais d'ailleurs tendance à insister sur ce terme homme ; pas au sens large mais bien au sens sexué. Car de fait, cette croyance et son application en matière de relation avec le chien est bien une propension masculine plutôt que féminine. Je le dis en étant d'autant plus à l'aise que je suis un homme et qu'il m'est arrivé de croire en cette théorie, il y a longtemps. Mais que les messieurs se rassurent, on peut aussi observer chez les femmes une certaine propension à d'autres comportements tout aussi condamnables.

Pour finir, une petite citation qui peut faire réfléchir.

"J'observe que (les gens croient que) le chien se doit d'attendre la volonté de son maître, de lui obéir en toutes circonstances, de ne pas prendre d'initiatives et de n'avoir aucun privilège. Quand il ne répond pas à ces critères, le chien est qualifié de « dominant », la tare par excellence : le chien montre des velléités intolérables de supériorité et son propriétaire manque d'autorité ; l'homme est disqualifié (et culpabilisé) et le chien doit être « cassé.

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