Bonjour,
Je viens vous demander des conseils car je suis désespérée.
J'ai un chat de 2 ans qui depuis quelque mois s'est mis à disparaître. Je l'ai retrouvé plusieurs fois dans un pré pas très éloigné de chez moi. Il est certain à 100% que quelqu'un s'occupe de lui car : il ne maigri pas, et surtout, il a les poils longs (donc quand il est dehors il a toujours des trucs qui s'accrochent dans ses poils) et a droit des "coupes de poils" (on voit bien la démarcation des poils coupés).
J'ai été voir toutes les maisons alentour et/ou mis des annonces dans les boites aux lettres pour prévenir qu'il s'agissait de mon chat, que j'y tenais et j'ai demandé à ce que la personne qui s'en occupe cesse de le faire. Suite à ça, disparition totale de mon chat (l'ont-il volontairement enfermé pour ne pas que je le retrouver? Je n'en suis pas sûre mais je crois que c'est une possibilité).
Ce soir, j'ai fini par le trouver. Rebelote, poils coupés et il sent même le Frontline à plein nez. Donc aucun doute.
Il n'y a pas 50 maisons dans le coin. Je soupçonne très fortement une famille chez qui je le retrouve systématiquement et qui bizarrement quand je les ais rencontrés m'ont dit "ah non... on ne l'a jamais vu" (pourtant il est tout le temps là)... Bref, eux ou quelqu'un d'autre, je n'ai pas de preuve ni de certitude donc je ne peux rien dire... la seule certitude c'est qu'il s'agit bien d'une des 3/4 maison du coin qui me l'a volé (ça n'a pas d'autre nom).
Qu'est-ce que je pourrais faire? Porter plainte servirait-il à quelque chose? N'ai-je plus que mes yeux pour pleurer?
Je précise que mon chat n'est pas malheureux chez moi mais, que suite à plusieurs déménagements dans ma rue, de nouveaux chats ont débarqués en nombre (et ils sont tous fans de mon jardin) et que le mien, n'étant pas du tout un dominant préfère probablement une maison où il est plus tranquille qu'ici (sauf que si personne ne s'en occupait il rentrerait bien ici comme avant).
Enfin, je précise également qu'il est identifié et stérilisé et qu'il n'y a aucune ambiguité sur le fait qu'il m'appartienne.