J'ai l'impression que la tristesse inspirée par ce rêve repose surtout sur les pensées et décisions prises dans ce rêve ;
Hésitez à lui donner du poulet car cela pourrait l'inciter à revenir ( quand je me doute que de son vivant, elle était nourrie et étant votre chat, vous aimiez qu'elle revienne!)
Hésitez à la remettre dehors avant de dormir ; quand vous précisez qu'en réalité lorsqu'elle était la, vous pouviez vous lever toutes les 15min pour voir si elle revenait.
Si mon impression est bonne ( donc pas la tristesse de revoir votre chat, mais les pensées et décisions que vous avez pris en rêve a son sujet), sachez simplement que le cheminement de pensées lors des rêves s'articule très souvent de façon différente de celui de la réalité.
Parce qu'on ce sent dans un monde a part ...? Parce que certaines de nos facettes qui articule notre esprit sont endormies, ou engourdies ...?
Pour exemple, je souffre d'anxiété généralisée, et dans mes rêves, je n'en souffre pas du tout. Ce qui change beaucoup de choses dans mon appréhension des situations que j'y rencontre.
Ce n'est qu'un exemple.
Lorsque la chienne de mon enfance est morte, des années a plus tard, j'ai eu la chance de la voir en rêve, et d'être consciente de cela ; de sa disparition, du fait qu'elle me manquait.
Tout était alors abandonné pour de grosses séances de câlins, larmes de joie, et passer du temps avec elle.
Lorsque ma 1ere chienne en tant qu'adulte est décédée, je n'ai pas eu cette chance. Lorsqu'elle m'apparaissait en rêve, je n'avais pas du tout la conscience qu'elle avait disparue, qu'elle ne serait plus là a mon réveil, que s'était une chance. Et il m'est arrivé de m'en désintéressé, selon les aventures qui m'attendait, ou de ne pas profiter d'elle autant que je l'aurais voulu.
Au réveil, ses rêves me provoquait une frustration énorme, et beaucoup de regrets. De ne pas avoir lui faire de gros câlins, de ne pas, comme mon ancienne chienne dont je rêvais, avoir pu me jeter sur elle pour passer tout le temps de mon rêve a la câliner, a jouer avec elle, a lui dire que je l'aimais...