Véganisme/Végétarisme~~DÉBAT~~

Tu comptes donner des arguments pour le débat ou tu vas continuer à brasser de l'air ?

@Blue Fairy

Oui mais en même temps l'industrie de la viande , du lait etc sont beaucoup plus présents sur le plan économique donc c'est normal que leur propagande soit plus "forte" que celle vegan . Et je pense pas que le PNNS se soit associé avec Danone sur il n'y avait pas d’intérêt économique derrière .

... dit-il en brassant de l'air ...

Pour répondre à ton précédent message :

Oui, effectivement, je pense que manger de la viande sans en avoir la nécessité est monstrueux et égoïste.

Pour la 1001e fois, le véganisme n'est PAS un mode de vie, mais un engagement pour la fin de l'exploitation animale, qui passe par l'arrêt de la consommation de produits et aliments issus de cette dernière.

Je pense que tu peu retirer le mot "débat" de ton titre...

Pourquoi ?

Désolée, je n'avais pas vu ce message.

J'ai croisé les sources, et le PNNS a bien un partenariat avec Danone. Et si, il y a un intérêt économique derrière, Danone file des sous au PNNS, qui lui fait de la pub. C'est simple.

http://solidarites-sante.gouv.fr/prevention-en-sante/preserver-sa-sante/le-programme-national-nutrition-sante/article/les-etablissements-actifs-du-pnns

@LeSaintPaul,

Des arguments j'en ai déjà donné à la pelle

mais puisque tu n'a pas pris la peine de les lire en voici de nouveaux

Le lourd impact environnemental de la viande :

1 - Sur-exploitation des ressources en eau et pollution

15 500 litres d’eau sont nécessaires pour produire un kilo de viande de boeuf selon le rapport de FOE.

Soit autant que pour 12 kilos de blé ou 118 kilos de carottes.

Mais la production intensive de viande est également très polluante.

D’une part le lisier et les engrais rejetés qui contaminent cours d’eau et nappes phréatiques.

D'une autre les nombreux antibiotiques et hormones dont sont gavés les animaux pour accélérer leur croissance et leur permettre de tenir dans des conditions d’élevage éprouvantes

(animaux en surnombre, confinés, sans accès à l'extérieur...).

Une fois évacués par les déjections animales, ces produits se déversent dans la terre et les cours d’eau.

2- Recours intensif aux matières premières

La production intensive de viande nécessite en amont une production intensive de matières premières. Aujourd’hui, plus de 40% de la production mondiale annuelle de blé, seigle, avoine et maïs serait utilisée pour l’alimentation animale. ( donc pas que foin et soja comme tu pensais )

Des cultures céréalières souvent OGM (dans un soucis de rendement) qui nuisent à l’environnement et à la biodiversité.

3 - 15% des émissions de gaz à effet de serre

En 2011, le cabinet de consultation et d’analyse environnementale CleanMetrics rendait son évaluation sur l’impact environnemental, sanitaire et climatique de différents produits animaux.

L’agneau, le boeuf, le fromage, le porc et le saumon issus de fermes d’élevage se retrouvant alors en tête de liste des émetteurs de gaz à effet de serre.

Des émissions lourdes de conséquences puisqu'à l'échelle mondiale, 15% des GES seraient imputables à l’élevage, et 13% aux transports selon le GIEC.

Et les ruminants seraient les principaux responsables, puisqu’en plus de constituer des élevages énergivores, leur processus digestif génère du méthane, gaz qui se taille la part belle dans le réchauffement climatique.