Les Fables de... Wamiz !

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Pour vos Fables de la Fontaine,

Rendez la paroles aux animaux.

Créez, inventez, écrivez, mais ne laissez rien à la traîne

Du moment que ces Fables sont les vôtres.

A vous de choisir vos personnages,

Du plus bête au plus sage,

Vos titres et vos histoires,

Comme le Corbeau et le Renard.

C'est désormais à vous, chers membres,

D'attraper votre crayon

Et, que cela soit dans votre atelier ou dans votre chambre,

De faire honneur au bons.

Panthère Noire

(Si vous rencontrez un problème,

N'hésitez sur tout pas, car en MP,

Je vous répondrai.)

24 réponses
Energiesolaire
Energiesolaire

Elégance, ton poème est également très joli.

C'est beau de voir des jeunes qui ont l'envie et l'imagination pour écrire des poésies.

Nous sommes tous jeunes aux yeux de quelqu'un de plus vieux. Et tous vieux aux yeux de quelqu'un de plus jeune.

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Mon chat

Un pas, deux pas,

Toux doux dans le couloir

Il est là, il avance

Alors qu'il fait noir

A gauche, à droite,

Une queue touffue

Remue toute seule

Au gré de son voulu.

Renifle et frémit

Le petit nez mimi

Il ne dort pas, ainsi

Il veille la nuit.

Un oeil, un autre

Deux beaux yeux verts

Qui cachent au fond

Tous les secrets de l'univers

De tous les êtres vivants

Le chat est sans conteste

Le meilleur, le plus beau

Et plein de sagesse.

Un bond, deux bonds

Déja sur mes genoux

On s'aime, mon chat et moi

On ronronne entre nous.

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Il se réveille. Ne voit pas le soleil.

Se lève, regarde les barreaux

"Ah ! pense t il, que le monde de l'autre côté doit être beau !"

La porte s'ouvre a l'extérieur. Des enfants rentrent.

Viennent vers sa cage, riant, se bousculant.

Le montrent du doigt, le touchent et rigolent.

Il le supporte."Ils ont l'air heureux...Pourquoi moi ? Qu'est ce que j'ai fait

Pour me retrouver enfermé comme ça ? Dans une cage ou je ne peux pas faire un pas ?"

Il sent la haine monter, en lui. Se sent impuissant. Il ne peut pas s'échapper. Il ne lui reste à faire que le supporter. Il les voit, et eux ils rient. Ne sent plus ses pattes, veut dormir. Il ne résiste plus.

Se couche par terre. Se sent humilié, voudrait se noyer. Respire une dernière fois. "Je me vengerai !"

Ferme les yeux. Et son coeur s'arrête.

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Malaise

Je courais, sautais, frappais.

A coup sûr, je m'épuisais.

J'haletais,

Et quand je m'arrêtais,

Mon cœur battait,

Tellement que j'aimerai

Vomir et m'affaisser.

Au bout d'un moment,

J'ai abandonné.

Ma tête tournait,

Mes membres tremblait,

Mon cœur me menaçait,

Ma vue se brouillait,

Mes larmes coulait,

Mes jambes me laissèrent,

Et je m'écroulais.

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