Mort des suites d’un “status epilepticus” après anesthésie générale

clarafrrra
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Bonjour,


J’ai besoin d’aide s’il vous plaît. Mon petit pinscher a dû subir une opération pour retirer un mastocytome sur le torse, sous anesthésie générale. Le chirurgien m’avait assuré qu’il s’agissait d’une opération de routine, tout en évoquant malgré tout les risques liés à l’anesthésie.


Le jour de l’opération, on m’appelle pour me prévenir que mon petit Joke a du mal à se réveiller et qu’ils préfèrent le garder en observation. Deux heures plus tard, nouveau coup de fil : ils ont dû le plonger dans le coma suite à un status épilepticus… Je m’effondre. Le lendemain, je rencontre une neurologue qui m’explique qu’ils ignorent la cause exacte de son état, mais qu’ils souhaitent établir un protocole sur 48h.


Après ces 48h, mon chien fait toujours des crises convulsives à chaque tentative de réveil, il est de nouveau plongé dans le coma. On me propose alors deux options : continuer les soins ou l’euthanasier. C’est un cauchemar. Je choisis de poursuivre les soins, car la neurologue m’explique avoir connu un cas où le chien s’était réveillé après une semaine en coma. Lorsque je demande combien de cas semblables ont été suivis, on me dit que c’est seulement le deuxième de l’hôpital, ce qui me paraît inconcevable…


Finalement, au bout de 72h, son petit cœur lâche à 7h du matin… Je n’ai même pas pu être là pour lui dire au revoir. Je voudrais simplement comprendre comment une telle situation a pu arriver.

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    Bonjour, 

    Je suis vraiment désolée d’apprendre ce que vous avez vécu avec Joke, et je comprends à quel point cela doit être douloureux et incompréhensible. Malheureusement, même avec tous les progrès de la médecine vétérinaire, il arrive encore que certains animaux réagissent de manière imprévisible à l’anesthésie ou au stress opératoire, sans que la science puisse toujours expliquer pourquoi. 

    Le status épilepticus qui a suivi son opération est effectivement quelque chose de rare, et il semble que même les spécialistes aient été démunis face à cette situation. Vous avez pris la décision la plus humaine possible avec les informations dont vous disposiez, en vous fiant aux conseils des vétérinaires. Dans des cas aussi exceptionnels, il n’y a souvent pas de réponse claire, et c’est ce qui rend la perte encore plus difficile à accepter. 

    Je vous souhaite bon courage dans cette épreuve, 

    Bonne soirée, 

    Apolline 

    " Étudiant(e) vétérinaire, chargé(e) de mission pour la Junior-Entreprise ProVéto Junior Conseil "
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