Jouer à la corde ne signifie pas forcément trainer ou se faire trainer. Il suffit de lâcher et le contrôle peut s'opérer sur le fait de ramener le jouet pour continuer le jeu et ainsi apprendre au chien a doser son pouvoir de tire. Le résultat final est que le jeu s'opère plus sur le fait d'avoir la corde que de tirer.
" Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. "
On peut remplacer la laisse par autre chose ex une corde spécifique.
Pour le jeu, ma foi si tu le dis. Ca veut dire qu'aucun chien de cette taille ne joue à la corde ?
Mon frère avait un boxer gros gabarit et ce jeu faisait partie de leurs rituels. Enfin tout ça ne sont que des détails. Ce sont des principes, on les adapte à son chien, sa personne, sa situation.
" Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. "
Pixy bonsoir,
La meilleure façon de faire c'est la votre ;)
Les mots et les gestes que nous avons envers nos chiens n'ont que la signification que nous leur donnons. Vous pourriez dire tartampion pour le assis que ça serait pareil. La raison pour laquelle nous employons certains mots et gestes est qu'ils ont une véritable signification pour nous et nos intentions, énergies y correspondent.
Donc il faut que vous optiez pour un rituel compatible avec vous et votre environnement. Dans votre cas, j'ai lu que vous l'attachiez d'abord et que cela fonctionnait aléatoirement. Vous pourriez peut-être vous servir de ceci pour créer votre rituel. Par exemple, un mot de votre choix, si pas de résultat > attache > si pas de résultat isolement. Je vous suggère de ne pas trop insister au début sur le mot car il n'y aura pas de réponse. Et d'enchaîner assez rapidement sur les deux autres étapes. L'étape sur laquelle vous devez insister, c'est la dernière.
Pour l'apprentissage du contrôle, je vous conseille aussi le jeu à la corde. Le mien a appris à redescendre sur demande avec le mot stop et avec ce jeu. Maintenant, le mot stop signifie la fin de l'interaction.
Pour la barrière et la porte, je pense que je provoquerais les situations à répétition afin que corriger avec un gros non. D'attendre le assis et seulement là, j'ouvre. Mais n'ayant jamais eu ce souci, ce n'est que ma façon de voir.
" Ce que je sais, c’est que je ne sais rien. "