En fait, je pense que la "bonté" peut être amenée par 2 concepts, qui peuvent soit agir de concert, soit provoquer une sorte de "combat intérieur": la personnalité et l'éducation, ou l'inné et l'acquis finalement. Si de base une personne a une certaine empathie pour autrui, dont les animaux, instinctivement oui elle essaiera de ne pas faire mal à un chiot, même si elle ne sait pas comment il faut agir, par défaut elle fera attention, elle le traitera comme si c'était un précieux verre en cristal irremplaçable qu'il ne faut pas abîmer ou casser. Mais si son empathie n'est pas aussi étendue (je sais pas si c'est la meilleure formulation ou le meilleur terme), là c'est l'éducation qui prend le relais: les parents qui expliquent qu'un chiot est un être vivant, qu'il ne faut pas jouer foot en lui donnant le rôle du ballon, etc.
Tu l'exprime très bien, et c'est confirmé dans cette vidéo d'ailleurs:
https://www.youtube.com/watch?v=of6znVOEvZU