Le dobermann : quel est réellement ce chien ?

Et Bradley ? S’il est toujours dispo d’ici là :)

Ah oui Bradley👌

Bradley a été adopté par l’autre famille , j’en suis heureuse pour lui et il est prévu qu’on fasse des promenades ensemble quand Cortex sera remis mais je ne voulait pas imposer 3 mois de plus en cage à ce petit loulou

Hello Rinrin,

Je te déconseille le dobermann, tu risquerais d'avoir le coeur brisé malheureusement (ceci est une google-traduction vu que je ne sais pas si tu parles anglais ^^) :

"AITONOMIE HORS CONTRÔLE : PAS QUE DOBERMAN 🌈

✅ Environ 60% des chiens de race Doberman souffrent d'une cardiomyopathie dilatative (DCM), avec 13% touchés par le moment où ils ont 6 ans et plus de 40% à l'âge de 8. La maladie a un modèle de transmission autosomique dominant, mais les gènes causaux sont inconnus.

Le chien meurt soudainement, souvent sans symptômes prodromiques et à l'âge jeune, autour de 6 ans en moyenne.

Le coefficient de consanguinité moyen du Doberman est de 43%, ce qui signifie que :

en moyenne près de la moitié du génome d'un chien est homozygothique, avec deux copies du même allèle ; le risque qu'un locus particulier soit homozygoté pour le même allèle, bon ou mauvais, est de 43% en moyenne des génomes de deux chiens quel que soit s'est pris dans la P déjeuner de race c'est pareil.

📌 Les gènes pour le système immunitaire du chien sont appelés « antigènes leucocytaires du chien » (DLA). Ils ont tendance à être hérités comme des blocs de gènes appelés haplotypes. Il existe deux types d'aplotypes DLA appelés DLA Class I et DLA Class II. Comme les allèles individuels, un animal peut hériter de deux copies du même aplotype ou peut être différent (homozygotes ou hétérozygotes).

🎯 Le Doberman a la plus faible diversité dans les gènes DLA du système immunitaire de toute race étudiée jusqu'à présent par le laboratoire de Pedersen à l'UC Davis. Cela, associé au niveau élevé de consanguinité documenté par plusieurs études et à la parenté générale des chiens dans la population, laisse aux éleveurs peu de capacité à contourner les multiples maladies génétiques de la race. De plus, certains gènes nocifs peuvent être fixés dans la race, c'est-à-dire la version normale, non mutée du gène n'est plus présente dans le pool génique et n'est donc pas disponible pour la sélection (en Expo et les essais, des sujets sont souvent promus obtenus en forte homozygose et en pourcentage élevé de COI, préserver par les vérifications zootechniques le patrimoine génétique de ces sujets signifie retarder et aggraver un grave dommage dans la sélection de cette race et d'autres).

Il est hautement improbable que la situation génétique désespérée du doberman puisse être améliorée par l'élevage sélectif dans le pool génétique fermé de la race. Il devrait être très clair aux éleveurs qu'ils ne rétabliront pas la santé de cette race en sélectionnant contre les problèmes de santé. En outre, essayer de sélectionner des parents moins proches dans l'effort d'améliorer la diversité de la progéniture, c'est un peu comme jeter des pois dans l'assiette ; il semblerait que vous réalisez quelque chose, mais avec peu d'effet, cela serait nécessaire, dans Italie, une intervention drastique du Club de race et du Kennel club italien, qui ont besoin de compétences spécifiques que ces structures n'ont pas pour eux.

🔰 Le seul espoir pour cette race est le début d'un programme de croisement solide et complet, sous la direction de généticiens de population, introduisant une nouvelle diversité génétique dans la race. Il faudra du temps pour commencer le sauvetage génétique, ce ne sera pas facile et plus d'opposition seront posées à ces projets et plus il sera difficile de le réaliser.

🧠 « Il existe une obligation morale et une responsabilité dans le respect du bien-être animal, qui est de rétablir la noble race Doberman en bonne santé, et cet effort doit commencer immédiatement, pour cette race et d'autres, les clubs ont dirigé les p des intérêts dans des directions différentes en produisant une condition appelée «contre sélection” et développant les conditions d'une véritable maltraitance génétique.”

Par Carol Beuchat PhD - ICB US Arizona"

Coucou Leelee, très intéressant cet article, assez désolant par contre ..

Oui je suis bien d'accord, ce qui est le plus triste, c'est que dans ce genre de cas, les retrempes ne sont pas pleinement assumées.

https://www.instituteofcaninebiology.org/blog/an-update-on-the-genetic-status-of-the-doberman-pinscher

Mais au final, selon wikipedia, la race a moins de 200 ans, et je cite "On s'accorde généralement sur le fait que le dobermann serait le résultat de croisements entre Pinscher allemand, Rottweiler, Berger de Thuringe (Berger Allemand), Dogue allemand, Lévrier, Braque allemand à poil court et Manchester terrier."

Ne serait-il pas possible, via des recherches et du travail, de recréer la race en partant de croisement similaire pour ajouter une diversité génétique aux dobermann actuels ?

Bon, oui ça fait beaucoup de croisement, personnellement je ne vois pas vraiment comment monsieur dobermann a fait ses croisement, mais il a peut être documenter ça quelque part ?

Dommage qu'une des membres de wamiz soit très occupée, car elle a un doberman 🙂