Cette année encore, l’I-CAD, une société de gestion du Fichier National d’Identification des carnivores domestiques, sous la délégation du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, organise la Semaine nationale de l’identification.
L’objectif ? Encourager les dizaines de millions de propriétaires de chiens, chats et furets français à faire identifier leurs animaux.
La Semaine nationale de l’identification, une campagne de sensibilisation omnicanale
Pour sensibiliser les propriétaires et faire un réflexe de l’identification des animaux de compagnie, l’I-CAD lance sa campagne omnicanale du 8 au 14 juin.
Par le biais de spots TV, un site internet dédié, un jeu concours, des relais sur les réseaux sociaux, des partenariats avec les acteurs de la filière et un engagement caritatif, l’I-CAD espère encourager les propriétaires à faire pucer ou tatouer leurs animaux.
En leur donnant ainsi une identité à part entière, les maîtres et maîtresses protègent leurs animaux de la fourrière et le risque d’euthanasie dans le cas d’une fugue ou perte.
De nombreux acteurs du secteur de l’animal de compagnie s’impliquent dans cette campagne, soutenue par Mr Louis Schweitzer, Président de la fondation « Droit animal, éthique et sciences », le Docteur vétérinaire Luc Mounier, Responsable de la chair « Bien-être animal » au sein de VetAgro Sup, et le Député et Docteur vétérinaire Loïc Dombreval, Président du groupe d’études « Condition animale » de l’Assemblée Nationale.
L’identification du chien, chat ou furet, un geste responsable
L’identification des animaux de compagnie, c’est un vrai enjeu de société !
En France, l’identification d’un animal de compagnie est une obligation légale. Mais aujourd’hui, seuls 2 chats sur 3 sont identifiés dans l’Hexagone. Du côté des chiens, seuls 80% ont une puce électronique.
Pourtant, l’identification est le meilleur moyen de s’assurer de retrouver son animal dans le cas d’une fugue.
En 2016, TNS Sofres a réalisé une enquête pour le compte d’I-CAD qui a révélé que les animaux identifiés sont retrouvés à 81% lorsqu’ils sont perdus, contre 59% pour les animaux non identifiés.
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