Le professeur Dominique Grandjean de l’École nationale vétérinaire d’Alfort-EnvA mène actuellement l’étude SALICOV en collaboration avec l’AP-HP, l’ARS et le Conseil régional d’Île-de-France.
Des résultats très positifs
Au printemps, 9 chiens renifleurs ont été dressés pour détecter le coronavirus sur 335 volontaires. Les chiens doivent renifler une compresse imprégnée de la sueur du patient.
Les chiens ont été capables de détecter 97 % des cas positifs, y compris les variants et les cas asymptomatiques.
Un mode de dépistage efficace pendant l’été
Le journal le Huffington Post a indiqué que le ministère de la Santé était en réflexion pour déployer un dispositif de dépistage dès l’été.
En effet, le dépistage par le biais des chiens renifleurs interviendrait en complément du pass sanitaire lors des manifestations culturelles estivales : concerts, festivals, événements sportifs, etc.
Une étude très encourageante pour la suite et le gouvernement est d’ailleurs en train d’étudier les chiens mobilisables pour l’été.
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