Les êtres humains sont parfois injustes et cruels. Il y a quelques jours de cela, un chat errant a été récupéré par un bénévole. Un Maine Coon, probablement superbe il y a encore plusieurs mois de cela, l’animal n’était plus que l’ombre de lui-même.
Une fois chez le vétérinaire, afin d’examiner l’ampleur des dégâts, l’animal est scanné pour vérifier s’il a une puce d’identification. C’est le cas. Le vétérinaire, ravi, décide alors de contacter ses humains après avoir découvert qu’il avait été déclaré perdu depuis deux ans.
Une douche froide au téléphone
Mais rien ne se passe comme prévu. Au téléphone, l’humaine du matou reste sobre et s’avère peu intéressée par ce qu’on lui raconte. Elle ne pose même aucune question et finit par prononcer des mots d’une rare violence : « Cela fait longtemps qu’il est parti, je suis passée à autre chose. J’ai un nouveau chat, et je ne peux pas en avoir deux. Je ne vais pas le récupérer, faites en ce que vous voulez. »
C’est sur LinkedIn que cette histoire a été racontée par le vétérinaire Nicolas Layachi. Une histoire qui a été un véritable choc pour lui, comme le montre sa cinglante conclusion après cet appel téléphonique : « En tout cas tu rends justice à cette propriétaire: avare elle n’est pas. Il semblerait que les chats qui coûtent un sac de luxe ait un prix mais pas de valeur. »
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