Sciences Po a annoncé le 1er avril adopter une quinzaine de chats pour les faire évoluer dans sa bibliothèque. Se basant sur les études récentes qui ont démontré les bienfaits de la présence féline pour les étudiants, l’Institut d’études politiques souhaitait ainsi suivre le modèle de quelques établissements étrangers. Meilleure concentration et diminution du stress étaient les effets prétendument attendus, comme le montre cette vidéo :
Un coup de com' qui tourne au bad buzz
Sauf que cette initiative, aussi vraisemblable soit-elle puisqu’elle se répand de plus en plus dans les universités étrangères, n’est en fait… qu’un poisson d’avril. Une plaisanterie qui n’a pas plu à tout le monde et qui, surtout, peut paraître méprisante envers les établissements qui s’ouvrent à la médiation animale : alors que les bénéfices de la présence animale ne sont plus à prouver, Sciences Po semble bien s’en moquer !
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